mardi, 03 août 2010
Nicosie et Athènes lancent un avertissement à la Turquie

Nicosie et Athènes lancent un avertissement à la Turquie
Un navire turc dans les eaux grecques et chypriotes se livre à la prospection en vue de trouver du pétrole
La tension est montée entre Nicosie et Ankara, quelques jours avant le 36ième anniversaire de l’invasion turque de Chypre, à cause de la présence d’une navire suspect circulant dans les eaux chypriotes.
Le gouvernement de Chypre a annoncé son intention de surveiller les mouvements d’un bateau turc, manifestement destiné à l’exploration, qui circule au large des côtes occidentales de l’île. Le navire, qui se trouvait entre l’île de Kastellorizo, l’île la plus orientale de la Grèce, et la pointe la plus occidentale de Chypre, a été envoyé pour procéder à une prospection des fonds marins, vraisemblablement à la recherche de pétrole.
L’annonce qu’un contrôle radar sera effectué pour suivre les mouvements du navire à l’initiative conjointe de la Grèce et de Chypre a été faite quelques jours avant la commémoration de l’intervention militaire turque de juillet 1974, qui s’était déroulée en deux opérations : un débarquement de troupes sur les plages de Kyrenia et le lancement de parachutistes sur les hauteurs entourant Nicosie. On ne sait toujours pas exactement à combien de morts se chiffre le bilan de cette opération : les autorités chypriotes estiment qu’environ 300 hommes de la Garde Nationale chypriote, capturés par l’armée turque après le débarquement ont été froidement massacrés.
Le ministre chypriote de la défense nationale, Costas Papacostas, intervenant sur la question du navire turc de prospection repéré par les Grecs et les Chypriotes, a déclaré : « Nous observons sans relâche les activités d’exploration de ce navire turc en coopérant pleinement, dans cette tâche, avec le Grèce ». de son côté, l’ambassadeur grec à Ankara a déposé le 14 juillet 2010 une note diplomatique auprès du ministère turc des affaires étrangères, afin de lancer un avertissement contre toute forme d’exploration, en vue de découvrir éventuellement du pétrole, qui se déroulerait sur la plateforme continentale des eaux de l’Egée sous souveraineté grecque. L’avertissement qu’a lancé à son tour le ministre grec de la défense, Evangelos Venizelos, est tout aussi tranché : celui-ci a précisé que les mouvements du navire seront constamment surveillés.
La tension pourrait encore s’aggraver si la Turquie envoie des navires de guerre ou des avions militaires dans le territoire qu’elle occupe illégalement dans le Nord de l’île de Chypre, au début de la troisième semaine de juillet pour célébrer le trente-sixième anniversaire de l’invasion de 1974. La question chypriote constitue l’un des nœuds gordiens (non tranchés) qui empêchent l’adhésion pleine et entière de la Turquie à l’UE. Elle explique pourquoi les négociations et les pourparlers bilatéraux pour faire progresser les prolégomènes de l’adhésion turque traînent et s’enlisent, au moins depuis 2005.
Cet enlisement et les dangers qu’il représente pour Ankara ont été confirmés ces jours-ci par Mensur Akgun, directeur de la « boîte à penser » turque « Global Politics – Trend Research Center », qui attribue l’échec turc à se faire accepter par l’UE à une combinaison de facteurs relevant de la politique extérieure et de la politique intérieure, parmi lesquels la question de Chypre. La Grèce, membre de l’Union Européenne, s’oppose de fait, et avec énergie, à l’adhésion turque, tant qu’Ankara refuse de retirer les 35.000 soldats turcs dispersés sur tout le territoire de la « République turque de Chypre du Nord », instance non reconnue et auto-proclamée.
(article paru dans « Rinascita », Rome, 17 juillet 2010 ; http://www.rinascita.eu/ ).
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lundi, 02 août 2010
L'antagonisme Chine/Etats-Unis sur le continent africain

Federico DAL CORTIVO:
L’antagonisme Chine/Etats-Unis sur le continent africain
Avec la création de l’AFRICOM, la thalassocratie américaine veut transformer le Continent noir en une arrière-cour de Washington !
Les Etats-Unis, sous « l’Administration Bush », n’ont plus cessé de considérer l’Afrique comme un futur « espace vital », destiné à fournir des matières premières, dont du pétrole, indispensables pour l’économie américaine qui est constamment à la recherche de nouveaux territoires à exploiter sans vergogne, aujourd’hui plus que jamais, vu l’actuelle crise économique et le recul de l’hégémonie américaine sur l’Amérique latine, son arrière-cour traditionnelle. Mais la volonté de Washington d’étendre son influence en Afrique a aussi pour objectif de s’opposer à la pénétration chinoise sur ce continent, qui se montre de plus en plus importante. Beijing entretient des rapports commerciaux étroits et de grande ampleur avec de nombreux pays africains, rapports qui, eux aussi, s’avèrent de plus en plus nécessaire pour une économie chinoise en pleine croissance.
Dans le passé, la présence militaire américaine s’était manifestée en Afrique via l’ « US European Command » qui prenait sous son aile tous les pays africains ; ensuite cette compétence fut transférée au « Strike Command », devenu en 1971 le « Readiness Command » et puis, successivement, au « CentCom » et au « Pacific Command ». Il a fallu attendre 2007 pour que le Pentagone annonce la création d’un commandement tout entier consacré à l’Afrique seule.
La création de ce nouveau commandement a permis de définir clairement les nouvelles structures militaires qui expriment la volonté bien déterminée de Washington de renforcer considérablement sa présence militaire et de se doter, en Afrique, de capacités de riposte rapide.
Placé sous le commandement du Général William E. « Kip » Ward, l’Africom comprend toutes les armes formant traditionnellement les forces armées : l’armée de terre, la marine, l’aviation et les Marines, dont les postes de commandement se situent actuellement en Italie, à Vicenza (US Army Africa Setaf), à Naples (US Navy Africa), et en Allemagne, à Ramstein (US Air Force Africa), à Boeblingen (US Marine Corps Africa) et à Stuttgart (Special Operation Command Africa) ; enfin, à ces postes installés en Italie et en Allemagne, s’ajoute le Camp Lemonier à Djibouti en Afrique orientale, où se trouve également le « Combined Joint Task Force – Horn of Africa ». Le Pentagone examine actuellement la possibilité de mettre à la disposition de l’Africom d’autres forces, afin d’accroître sa vitesse opérationnelle : 1000 Marines aéroportables, capables d’être déployés rapidement sur divers théâtres d’opération. Toujours sous le prétexte de la « lutte contre le terrorisme international », Washington a renforcé ses liens militaires et diplomatiques avec plusieurs Etats africains, en suivant, dans cette optique, trois lignes directrices principales : la diplomatie, la chose militaire et le développement. Ce dernier sert, comme d’habitude, à lier l’Etat en question au modèle économique américain, afin d’un faire un vassal, pompeusement baptisé « allié ».
Aux côtés du Général Ward, on trouvera l’ambassadeur Anthony Holmes afin de mieux coordonner les rapports entre pays africains et, par conséquent, de s’assurer une mainmise toujours plus forte sur le Continent noir, considéré dorénavant comme « stratégique ». Tout cela correspond bel et bien à ce que l’on peut lire dans le « Quadrennial Defence Review » de février 2010, qui prévoit une augmentation des dépenses militaires de 2%, avec une somme totale allouée de 708 milliards de dollars pour 2011 (y compris les 160 milliards de dollars prévus pour les guerres d’Irak et d’Afghanistan). Pour 2010, l’Africom pourra s’attendre à recevoir 278 millions de dollars pour les opérations et 263 autres millions de dollars pour la logistique, le développement de nouvelles structures et d’autres moyens divers.
La machine de guerre américaine s’apprête aussi à débarquer en force en Afrique, où elle avait déjà, à intervalles réguliers, organisé des manœuvres militaires communes avec le Mali, le Nigéria, le Maroc et le Sénégal.
Les raisons géopolitiques, qui président à ce nouveau projet africain des Etats-Unis, doivent être recherchées dans le poids de plus en plus lourd que pèse Beijing en Afrique, grâce à une politique de non ingérence dans les affaires intérieures des pays concernés, à la différence de la pratique américaine qui a toujours préféré contrôler étroitement les « gouvernements amis » et les manipuler à loisir.
Après avoir adopté le « socialisme de marché », en tant que version revue et corrigée du communisme, la Chine s’est affirmée avec force sur la scène internationale, mue par l’impératif d’acquérir matières énergétiques en grandes quantités et à bon prix. On se rappellera les bonnes relations qu’entretient Beijing avec certains pays d’Amérique latine, surtout le Venezuela et le Brésil ; ces relations se déroulent de manière paritaire, mode de travail qui ne trouble en aucune façon le cours nouveau qu’a emprunté ce continent sud-américain, comme on peut le constater en observant les accords pris entre certains de ces pays d’Amérique ibérique, d’une part, et la Russie, l’Inde, l’Iran et l’Afrique du Sud, d’autre part.
Cependant la partie la plus importante se joue en Afrique où d’immenses richesses minières et pétrolières sont encore disponibles. Le Dragon chinois est présent sur place, avec des investissements dépassant les 20 milliards de dollars pour la réalisation d’infrastructures importantes comme des ponts, des centrales électriques et des routes.
Les rapports entre la Chine, d’une part, l’Angola et le Soudan, d’autre part, sont optimaux ; d’autres accords ont été conclu avec l’Algérie et l’Egypte, où 150 entreprises chinoises se sont implantées. En Afrique du Sud, les Chinois ont acquis la « Standard Bank », principale banque de ce pays riche en minerais, dont l’or et le diamant.
Au Soudan, la découverte de riches gisements de pétrole a attiré l’attention de la « China Petroleum Company », ce qui fait que 8% du pétrole consommé en Chine vient désormais de ce pays africain. En Algérie, la « China Petroleum & Chemical Corporation » et la « China National Petroleum » ont pris en main la gestion des puits les plus importants. A la liste, on peut ajouter le Nigéria, troisième fournisseur africain de pétrole à la Chine ; ensuite, le Sénégal, la Tchad, la Guinée, qui possèdent aussi des gisements de pétrole, et le Cameroun, où l’on trouve et du gaz naturel et du pétrole.
Aujourd’hui donc, force est de constater que les fronts sur lesquels sont déployées les forces armées des Etats-Unis augmentent en nombre au lieu de diminuer ; dans un tel contexte, la thalassocratie américaine ne peut rien faire d’autre que de mettre la main sur les ressources du « Tiers Monde » (comme il était convenu de l’appeler). Pour y parvenir, Washington doit déployer de plus en plus de troupes, d’avions et de navires aux quatre coins du globe. Ces efforts ne laissent pas indifférents les Américains eux-mêmes car, pour réaliser cette politique d’omniprésence, la Défense engloutit des sommes gigantesques : il suffit d’analyser les chiffres ; entre 2001 et 2011, le bilan du Pentagone a augmenté de 40% et, si nous prenons en compte également les frais engendrés par les guerres, nous arrivons au chiffre de 70%. Nous sommes dont dans un état de guerre permanente, même si cette guerre n’a jamais été déclarée ; en effet, 400.000 hommes de l’armée américaine sont déployés sur les divers théâtres opérationnels de tous les continents. On le voit : de Bush à Obama, il n’y a eu aucun changement.
Federico DAL CORTIVO.
(article paru dans « Rinascita », Rome, 13 juillet 2010 ; http://www.rinascita.eu/ ).
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US-Raketen in der Umgabung Chinas stationiert
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Presseschau - August 2010 / 1
Presseschau
August 2010 / 1
Einige Links. Bei Interesse anklicken...
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Volk ist ein Begriff, der einem überaus verwirrenden Sprachgebrauch unterliegt, aus dem sich folgende Hauptbedeutungen herausheben: Volk als Bevölkerung größerer oder kleinerer Gebiete; Volk als Untertanenschaft eines Staates, aus der sich eine mündige Nation entwickeln kann; Volk („gemeines Volk“) als tragende Unterschicht ohne Rücksicht auf völkische Geschlossenheit (Entartungsform: Pöbel); Volk als eigenständiges, durch Blut, Boden und Geist (besonders Sprache) geeintes Lebewesen, das zugleich fähig ist, ein eigenvölkisches Staatswesen geschichtlich zu verwirklichen. In den mit „Volk“ zusammengesetzten Wörtern taucht dieses in den verschiedenen Bedeutungen auf, die überdies geschichtlich höchst wandelbar waren. Heute gehen wir im letztgenannten Sinne vom Volk als Volkstumsträger und natürlich-geschichtlich eigengearteter Gemeinschaft aus. Auch in den Begriffserläuterungen dieser Schrift wurde dieser Wortsinn soweit in den Vordergrund gerückt, als das ohne Vergewaltigung des Sprachgebrauchs und Verwirrung herkömmlicher Denkgewöhnung möglich war.
(Max Hildebert Boehm: ABC der Volkstumskunde. Der Begriffsschatz der deutschen Volkslehre für jedermann, Potsdam 1936, S. 82)
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Internationaler Gerichtshof bestätigt Unabhängigkeit des Kosovo
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M547f115a292.0.html
Kosovo-Gutachten
Serbien beklagt Verlust „unseres Jerusalems“
Aus serbischer Sicht ist die Unabhängigkeit des Kosovo weiter unrechtmäßig. Nach der IGH-Entscheidung wettern Politik, Presse und Kirche.
http://www.welt.de/politik/ausland/article8592348/Serbien-beklagt-Verlust-unseres-Jerusalems.html
Das Kosovo-Urteil ist Teil neuer Konflikte
Der Internationale Gerichtshof bestätigte die Unabhängigkeit des Kosovo. Wo aber beginnt das Recht auf Eigenstaatlichkeit?
Von Michael Stürmer
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article8618245/Das-Kosovo-Urteil-ist-Teil-neuer-Konflikte.html
Taliban-Offensive nahe Kunduz
Herausfordern, hinrichten, herrschen
Aus Kabul berichten Matthias Gebauer und Shoib Najafizada
Die Gewalt im Süden des Bundeswehrstützpunkts Kunduz eskaliert. Taliban haben eine Polizeiwache attackiert, sechs Polizisten enthauptet – als Zeichen der neuen Stärke. Die Region Baghlan droht von den Radikalen überrannt zu werden, die westlichen Truppen schlagen mit Kommandoaktionen zurück.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,707683,00.html
Zoff um Wehrpflicht
Union probt Aufstand gegen Verteidigungsminister
In CDU und CSU formiert sich nach SPIEGEL-Informationen massiver Widerstand gegen Karl-Theodor zu Guttenberg. Führende Unionspolitiker lehnen den Plan des Verteidigungsministers ab, die Bundeswehr zu einer Freiwilligenarmee umzubauen. „Wir sind grundsätzlich für den Erhalt der Wehrpflicht.“
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,708250,00.html
Die deutsche Wirtschaft ist in Hochstimmung
Ifo-Index steigt so stark an wie noch nie seit der Wiedervereinigung – Unternehmen für Zukunft optimistisch
(Na, dann war’s das wohl schon mit der Finanzkrise?)
http://www.welt.de/die-welt/wirtschaft/article8613463/Die-deutsche-Wirtschaft-ist-in-Hochstimmung.html
CDU
Wutwelle aus dem Westen
Schlechte Wahlergebnisse, bröckelnde Machtoptionen, null Begeisterung: Die CDU leidet unter einer beispiellosen Auszehrung. Im Westen wächst die Wut – auch auf Angela Merkel.
http://www.focus.de/politik/deutschland/tid-19251/cdu-wutwelle-aus-dem-westen_aid_533826.html
Jeder 5. Deutsche würde neue Rechtspartei wählen
http://www.focus.de/magazin/kurzfassungen/focus-30-2010-jeder-5-deutsche-wuerde-neue-rechtspartei-waehlen_aid_533766.html
Neue Debatte um das Waffenrecht
Verfassungsbeschwerden von Gegnern und Befürwortern einer Verschärfung
von Christoph Wenzel
http://www.welt.de/die-welt/politik/article8613414/Neue-Debatte-um-das-Waffenrecht.html
Fördervereinigung Legaler Waffenbesitz
http://www.fvlw.de/
Warnung vor manipulierten Webcams
Ausweispflicht im Internet gefordert
(Hinter dieser Forderung nach weniger Anonymität im Internet könnten auch ganz andere Interessen der Überwachung stehen ...)
http://www.rp-online.de/digitale/internet/Ausweispflicht-im-Internet-gefordert_aid_883020.html
Kirsten Heisig: „Ich bin zu der Auffassung gelangt, daß die Furcht vor den kriminellen Großfamilien alle anderen Aspekte bei weitem überwiegt“
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=23204
RICHTERIN KIRSTEN HEISIG (†48)
Ihr bitteres Vermächtnis
„Das Ende der Geduld“: Die Juristin rechnet ab mit der gesetzlosen, kriminellen Parallelwelt
Von 550 jugendlichen Intensivtätern in Berlin leben 214 in Neukölln, 45 Prozent von ihnen hätten arabische, 34 türkische Wurzeln, schreibt Heisig, wobei es insgesamt viermal mehr Türkischstämmige im Kiez gebe. „Die Araber stellen also gemessen an ihrem Bevölkerungsanteil die Mehrheit der Intensivtäter.“ Junge deutsche Kriminelle mit über 30 Straftaten gebe es in Neukölln kaum.
http://www.berlinonline.de/berliner-kurier/print/berlin/312479.html
Tod einer Unbeugsamen – der Fall Kirsten Heisig
Anfang Juli wird die Berliner Jugendrichterin Kirsten Heisig zuerst vermißt gemeldet und dann tot aufgefunden: Erhängt an einem Baum durch eigene Hand lautet die offizielle Version. Die Ermittlungen hatte das LKA, Abteilung 124 übernommen – sie ist zuständig für Delikte am Menschen, bearbeitet aber auch Vermißtensachen.
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=23255
Antifaschistische Pressewächter
Von Felix Krautkrämer
Engagierte Antifaschisten haben es heutzutage nicht leicht: Die Welt ist grausam, brutal, menschenverachtend und ungerecht. Überall herrschen „Rassismus, Geschichtsrevisionismus, Antisemitismus und Sozialchauvinismus“. Zumindest wenn man den Initiatoren der Kampagne „Let’s push things forward“ glauben möchte, die den Verkauf „rechter Zeitungen“ an Kiosken und im Zeitschriftenhandel unterbinden wollen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M55deb2eebba.0.html
Komplett geheilt
Eine linke Kampagne fordert die „Verbannung“ rechter Zeitungen aus der Öffentlichkeit. Das wirkt nicht eben souverän. Unser Autor ist trotzdem dankbar
http://www.freitag.de/kultur/1029-komplett-geheilt
„Michel Friedman ist die Einladung eines NPD-Vertreters zuzutrauen“: Im Gespräch mit Arne Schimmer (MdL Sachsen)
http://gesamtrechts.wordpress.com/2010/07/20/michel-friedman-ist-die-einladung-eines-npd-vertreters-zuzutrauen-im-gesprach-mit-arne-schimmer-mdl-sachsen/#more-13689
Aussichtsloser Kampf gegen Wikipedia
Die Wählervereinigung „Bürger in Wut“ stößt im Streit um eine kritische Formulierung in dem Online-Lexikon auf unüberwindliche Hindernisse.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5f822fa797e.0.html
Verdacht auf Betrug
Staatsanwalt ermittelt gegen Linke-Chef Klaus Ernst
Der Politiker wird des Betrugs und der Untreue verdächtigt. Die Ermittler prüfen, ob er Reisekosten falsch abgerechnet hat.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8563727/Staatsanwalt-ermittelt-gegen-Linke-Chef-Klaus-Ernst.html
Joschka Fischers Erinnerungen ...
http://service.gmx.net/de/cgi/g.fcgi/application/navigator?CUSTOMERNO=39290822&t=de2109990765.1280052640.e58c987
Vertriebenenzentrum: Angriffe auf Mitglieder des Stiftungsrates nehmen zu
BERLIN. Der Mannheimer Historiker Peter Steinbach hat scharfe Kritik an den stellvertretenden Mitgliedern des Stiftungsrates des Vertriebenenzentrums, Hartmut Saenger und Arnold Tölg geäußert. Die beiden Mitglieder des Bundes der Vertriebenen (BdV) verträten Thesen, „die vor allem in einer rechten Geschichtsbetrachtung gang und gäbe seien“, sagte Steinbach im Deutschlandradio Kultur.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M59929057e56.0.html
Wolfskinder
Die vergessenen Opfer
Verwaist oder von ihren Familien getrennt, überlebten Tausende Kinder aus dem deutschen Osten nach 1945 wie einsame Wölfe in den Wäldern Litauens. Diese sogenannten „Wolfskinder“ gehören zur „anderen“, verdrängten, abgeschobenen und bagatellisierten Geschichte des Krieges. Ihr Schicksal war über Jahrzehnte in Vergessenheit geraten.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M571a0b81b2c.0.html
Studenten erinnern an 20. Juli
BERLIN. In mehreren deutschen Universitätsstädten haben Studenten in der Nacht zum Dienstag mit Aufklebern an das Attentat auf Adolf Hitler vom 20. Juli 1944 erinnert.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M578e3ec4802.0.html
Täter-T-Hemd
Von Götz Kubitschek
Seit ein paar Wochen kann man in Hattorf/Harz Hemden bestellen, auf die – im Stile der Pop-Arts von Andy Warhol – der Hitler-Attentäter von Stauffenberg aufgedruckt ist. „Konmo“ nennt Jens Gerlach seine Marke, KONservative MOde will er kreieren, mit dem nebenstehenden Motiv ist ihm das gut gelungen.
Stauffenberg – der auch schon für die „Sezession“ warb – ist nun alles andere als eine Friedenstaube, das bewies er unter anderem heute vor 66 Jahren.
http://www.sezession.de/17843/taeter-t-hemd.html#more-17843
Operation Walküre
Von Christian Vollradt
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51405ca31dd.0.html
JF-Dossier: Der 20. Juli 1944
http://www.jungefreiheit.de/20-Juli-1944.174.0.html
Der Letzte vom 20. Juli
Ewald von Kleist war einer der Verschwörer um Oberst Stauffenberg. Daß er überlebte, wundert ihn noch heute. Eine Begegnung
von Michael Stürmer
http://www.welt.de/die-welt/vermischtes/article8526517/Der-Letzte-vom-20-Juli.html
Kampf um die Deutung
Von Thorsten Hinz
Das Attentat auf Adolf Hitler am 20. Juli 1944 wurde jahrzehntelang als ein Akt der Selbstreinigung und Ehrenrettung gewürdigt, der über die Untaten des Nationalsozialismus hinaus zu nationaler Selbstachtung auffordert und eine moralische und politische Selbstbehauptung Deutschlands ermöglicht. Dieser geschichts- und gesellschaftspolitische Konsens gerät mehr und mehr ins Wanken.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51247266e6a.0.html
Neue Untersuchung: Linksextreme Musik – Konträr zur rechtsextremen Musik?
http://www.amazon.de/Linksextreme-Musik-Kontr%C3%A4r-zur-rechtsextremen/dp/364032028X/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=books&qid=1279974264&sr=8-1
Deutsche Sprache ausmisten
Der folgende Entschluß der GrünInnen Bayerns, diedeutsche Sprache per gesetzlicher Vorgabe von allen maskulinen, patriarchalischen Worten auf dem Weg zu einem selbst – bestimmten Leben für junge Frauen zu reinigen, erzeugt bei einigen nur Verständnislosigkeit, bei anderen Wut und wieder bei anderen ein fröhliches Hurra auf den Kampf gegen das faschistisch-verbrecherisch-kapitalistisch-repressiv-patriarchalische-Imperialistensystem, in dem wir leben. Urteilen Sie selbst.
http://cdu-politik.de/2010/07/22/deutsche-sprache-ausmisten/#comments
Niederlande
Lebensgeschichte von Anne Frank als Comic
http://www.focus.de/panorama/vermischtes/niederlande-lebensgeschichte-von-anne-frank-als-comic-_aid_528605.html
Zuckererbsen, Tod und Teufel
Das Historische wird wahrhaft historisch: Eine letzte Momentaufnahme der 68er aus Anlaß der Beerdigung von Fritz Teufel
http://www.freitag.de/kultur/1029-seid-zur-heiterkeit-bereit
Beklemmende Gespräche
Die Reportage „Kampf im Klassenzimmer – Deutsche in der Minderheit“ schildert schonungslos die Realität an einer Essener Hauptschule. Die ARD-Verantwortlichen indes haben den Dokumentarfilm ins Nachtprogramm verschoben.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5b2ed457057.0.html
Prügel! Islamismus! Mobbing! Haß auf deutsche Schüler!
Der tägliche Wahnsinn in Essens Horror-Schule
http://www.bild.de/BILD/regional/ruhrgebiet/aktuell/2010/07/21/pruegel-islamismus-mobbing-hass-auf-deutsche-schueler/der-taegliche-wahnsinn-in-essens-horror-schule.html
Anekdote zur umgekehrten Integration
Von Martin Lichtmesz
Die Fernseh-Reportage „Kampf in Klassenzimmer“ anzusehen, war mir beinahe unerträglich...
http://www.sezession.de/17936/anekdote-zur-umgekehrten-integration.html
Doku: Kampf im Klassenzimmer
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=23235#comments
Özkan fordert Medien zu „Kultursensibilität“ auf
Niedersachsens Sozialministerin fordert eine „kultursensible Sprache“ für Beiträge über Integration. Die Journalisten sind empört.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8598557/Oezkan-fordert-Medien-zu-Kultursensibilitaet-auf.html
http://www.nwzonline.de/Region/Artikel/2391776/Ministerin+will+Medien+Inhalte+vorgeben.html
Wulffs Türken-Ministerin Özkan (CDU) läßt die demokratischen Hüllen fallen. Nach typisch moslemischer, arabischer und türkischer Manier bestimmt der Staat, was in der Zeitung steht. Noch Fragen zur Pressefreiheit, wenn die Mihigrus regieren?
http://fact-fiction.net/?p=4690
Ehefrau wollte Zweitfrau nicht dulden
http://www.nz-online.de/artikel.asp?art=1259465&kat=30
Integration
Schavan lobt türkische „Elite“
Bildungsministerin Schavan sieht große Fortschritte bei der Integration von Ausländern in Deutschland. Vor allem junge Türken würden verstärkt Verantwortung übernehmen. Deren Ehrgeiz und Aufstiegswillen vergleicht sie mit der Nachkriegsgeneration.
http://www.focus.de/politik/deutschland/integration-schavan-lobt-tuerkische-elite_aid_533775.html
Als Beispiel nennt Ministerin Schavan Özil, der demnächst bei Real Madrid auf der Ersatzbank sitzt, und ausgerechnet die Zensur-Özkan – siehe gestern!!! Es kann keiner mehr erzählen, daß dies keine Zufälle sind! http://fact-fiction.net/?p=4693
Stadt der Vielfalt – Das Entstehen des neuen Berlin durch Migration
(Das Buch kann man in dem Link als pdf-Version herunterladen)
http://www.berlin.de/lb/intmig/publikationen/minderheiten/index.html
Bad Soden
Schwestern wurden entführt
Streit unter zwei Familienclans
http://www.fnp.de/fnp/region/lokales/schwestern-wurden-entfuehrt_rmn01.c.7966318.de.html
Frankfurt
Tramfahrerin angegriffen
http://www.fnp.de/fnp/region/lokales/tramfahrerin-angegriffen_rmn01.c.7966186.de.html
CDU stellt Stadtkewitz Ultimatum
BERLIN. Die CDU-Fraktion im Berliner Abgeordnetenhaus hat ihrem Mitglied René Stadtkewitz ein Ultimatum gestellt, sich von dem niederländischen Islamkritiker Gert Wilders zu distanzieren.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5bc2035f37b.0.html
Streit um Einladung
Stadtkewitz will Wilders-Einladung nicht zurücknehmen
René Stadtkewitz wirft dem CDU-Fraktionschef Frank Henkel Ignoranz vor. Der hatte Stadtkewitz zuvor mit einem Rauswurf gedroht, weil dieser den Rechtspopulisten Wilders zu einer Debatte über den Islam eingeladen hatte.
http://www.tagesspiegel.de/berlin/landespolitik/stadtkewitz-will-wilders-einladung-nicht-zuruecknehmen/1889772.html;jsessionid=503BED82080C9A0F4F4B5B54ED134897
Gewerkschaft fordert türkische Polizisten in deutschen Städten
DÜSSELDORF. In Problemvierteln deutscher Großstädte sollen künftig türkische Polizisten gemeinsam mit deutschen Beamten Streife gehen. Dies hat die Deutsche Polizeigewerkschaft vor dem Hintergrund „vermehrter Medienmeldungen“ über jugendliche Täter mit Zuwanderungshintergrund gefordert.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5c117bc3e82.0.html
Sieben Festnahmen
Türkische Fans wüten beim Test in Mönchengladbach
Beim Testspiel der Erzrivalen Galatasaray und Fenerbahce Istanbul in Mönchengladbach mußte die Polizei zum Großeinsatz ausrücken.
http://www.welt.de/sport/fussball/article8577521/Tuerkische-Fans-wueten-beim-Test-in-Moenchengladbach.html
Versuchte Vergewaltigung in Hannover
Wieder war es in einem Schwimmbad, und wieder war der Täter ein „Südländer“. Mehr sagt uns die „Hannoversche Allgemeine“ nicht, und mehr dürfen auch die Leser nicht sagen, denn die Kommentarfunktion des Beitrages ist deaktiviert. Pool-Partys gibt es zukünftig nicht mehr. Auch das ist der Bereicherung geschuldet.
http://www.pi-news.net/2010/07/versuchte-vergewaltigung-in-hannover/#more-147740
„Grapscher“ von Rheindahlen ist erst zwölf Jahre alt
http://www.wz-newsline.de/?redid=887803
Gegen elfjährige Dealer ist die Polizei machtlos
In Berlin werden vorzugsweise Minderjährige eingesetzt, um harte Drogen an den Mann zu bringen. Ein System der Ausnutzung.
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article8542718/Gegen-elfjaehrige-Dealer-ist-die-Polizei-machtlos.html
Berlin
Polizei schnappt erneut Kinderdealer
Schon wieder ist ein Jugendlicher in Berlin beim Handel mit Drogen erwischt worden. Die Polizei schnappte den 13jährigen beim Verkauf einer Szenekugel. Die Forderungen nach geschlossenen Heimen für Dealer im Teenager-Alter werden immer lauter.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,707515,00.html
Berlin erwägt geschlossene Heime für Kinder-Dealer
Was tun mit elfjährigen Drogendealern? Weil es immer mehr junge Täter gibt, erwägt Berlin nun die Unterbringung in geschlossenen Heimen.
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article8556738/Berlin-erwaegt-geschlossene-Heime-fuer-Kinder-Dealer.html
Berlin
50 Personen greifen Polizeibeamte an
In Steglitz-Zehlendorf haben zwei Polizisten Prellungen und Schürfwunden erlitten, als sie von etwa 50 Personen attackiert wurden. Die Beamten waren zuvor einem Mann zu Hilfe geeilt, der von drei Angreifern zusammengeschlagen wurde.
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,707107,00.html
Kripo ermittelt
Polizei erneut von Pöbel-Mob attackiert
Bei einer Festnahme in Steglitz wurden Polizisten von einer Gruppe aus 30 Personen umringt.
http://www.bz-berlin.de/bezirk/steglitz/polizei-erneut-von-poebel-mob-attackiert-article925779.html
Prozesse um brutale Attacken auf Polizisten
Ein Zivilbeamter wurde niedergestochen, der andere getreten und geschlagen. Die Täter sind 18- und 19jährige. Am Montag begannen die Prozesse, eine Anklage lautet auf versuchten Mord.
http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/prozesse-um-brutale-attacken-auf-polizisten/1886898.html
Von Offenbach aus im großen Stil Iraker geschleust
Offenbach – Die Bundespolizei hat einen von Offenbach aus agierenden internationalen Schleuserring zerschlagen. Die Täter sollen sich darauf spezialisiert haben, Iraker über Deutschland nach Skandinavien zu bringen. In Offenbach und Frankfurt wurden vier Männer festgenommen. Von Ralf Enders
http://www.op-online.de/nachrichten/frankfurt-rhein-main/offenbach-grossen-stil-iraker-geschleust-851211.html
Zuwanderung
FDP fordert Erleichterung für ausländische Fachkräfte
Das deutsche Zuwanderungsgesetz enthält nach Auffassung von FDP-Generalsekretär Christian Lindner zu viele Hürden für qualifizierte Zuwanderer aus Nicht-EU-Ländern.
http://www.welt.de/die-welt/politik/article8541690/FDP-fordert-Erleichterung-fuer-auslaendische-Fachkraefte.html
Hasenjagd auf Polizei in Grenoble
Die seit Freitag andauernden schweren Krawalle in der französischen Stadt Grenoble dauern immer noch an. Ein Sprecher der Polizei umschreibt die Situation mit einer Jagdszene: „Es läuft schlecht. Meine Kollegen nehmen es schlecht auf. Man schießt auf uns wie auf Kaninchen. Und heute nacht? Wie wird es heute nacht für uns ausgehen? … Wir rechnen mit dem Schlimmsten.“
http://www.pi-news.net/2010/07/hasenjagd-auf-polizei-in-grenoble/#more-147042
Nach Todesschüssen der Polizei
Schwere Krawalle erschüttern Grenoble
http://www.tagesschau.de/ausland/ausschreitungengrenoble100.html
Neue Unruhen halten Frankreich in Atem:
In Grenoble schießen Jugendliche auf Polizei
Ausschreitungen nach Tötung eines Casino-Räubers
http://www.news.at/articles/1029/15/273520/neue-unruhen-frankreich-atem-in-grenoble-jugendliche-polizei
Reaktionen auf Volksentscheid
Begeistert, beflügelt, bedröppelt
Konservative Bildungspolitiker jubeln, grüne Reformer im Saarland und in NRW fühlen sich auf dem richtigen Weg, Berlins Bildungssenator trauert. Die Reaktionen auf den Hamburger Volksentscheid sind so unterschiedlich wie die Schulsysteme in Deutschland.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/wissen/0,1518,707290,00.html
Bildungspolitische Profillosigkeit rächt sich
Erfolgreiche bürgerliche Revolte in Hamburg gegen vereinheitlichte Schule – Die CDU ist der große Verlierer
http://91.204.34.222/2008/index.php?option=com_content&task=view&id=100059753&Itemid=1
Bildungspolitik: Chef des Lehrerverbands wirft CDU Profillosigkeit vor
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5ddb8214d05.0.html
Elternrebellen blamieren Senat
Hamburg macht Schule
Von Birger Menke und Ole Reißmann
Es war ein historischer Sonntag für Hamburg, und Ole von Beusts Rückzug hat nur zum kleineren Teil damit zu tun. Wichtiger noch ist: Per Volksentscheid haben die Bürger das Primarschul-Projekt des schwarz-grünen Senats gekippt. Ihr Triumph wird bundesweit Folgen für die Bildungspolitik haben.
http://www.spiegel.de/schulspiegel/wissen/0,1518,707177,00.html
Lexikon der Dummheit
Doof wie Bohnenstroh
Von Philipp Maußhardt
Für Klugheit ist das Arsenal der Redewendungen überschaubar, für Dummheit gibt es umso mehr. Eine Forscherin hat gesammelt, wie clever und einfallsreich wir Sprachbilder erfinden. Das Hochschulmagazin „duz“ resümiert, wer oder was, neben dem Esel und dem Stroh, noch für Blödheit herhalten muß.
http://www.spiegel.de/unispiegel/studium/0,1518,703405,00.html
OHL – seit Jahren eine Ausnahmeband der Deutschpunkszene, die wie kaum eine andere die Gemüter polarisiert. Mit den kompromißlosen und aggressiven Texten von Sänger und Mastermind DEUTSCHER W. kämpft die Band gegen politische Extreme von rechts wie links, gegen religiöse Bevormundung und Eingrenzung der individuellen Freiheit. Darüber wird oft vergessen, daß OHL auch musikalisch einzigartig und unverkennbar sind. Mit „Krieg Der Kulturen“, dem 11. Studioalbum der Band, präsentieren DEUTSCHER W., KALASHNIKOV (Drums), EGON KRENZ (Baß) und STALIN (Gitarre) wieder ein rasantes Sperrfeuer aus treibenden Schlagzeugrhythmen, bollerndem Baß und kantig-rockigen Gitarrenriffs, gekrönt vom typisch aggressiven Gesang. Songs wie „Kein Gottesstaat“, „Der Weg der Wahrheit“ oder „Die Welt steht in Flammen“ werden die zahlreichen OHL-Fans wie eh und je in Begeisterung versetzen. „Krieg der Kulturen“ ist ein streitsüchtiges, unangepaßtes Punkalbum fernab vom gemütlichen Mainstream. 12 Songs, CD-Erstauflage (2.000) im Digipack mit 20-seitigem 4c-Booklet, limitierte Vinylauflage (500) in transparentem Vinyl mit bedruckter 4c-Innenhülle auf Crazy United Records.
http://www.amazon.de/Krieg-Kulturen-Ohl/dp/B002V9L4YE/ref=sr_1_1?ie=UTF8&s=music&qid=1279549786&sr=8-1
Das Desaster von Duisburg
Im Tunnel des Todes
Von Julia Jüttner, Duisburg
Der Horror steht den Ravern von Duisburg ins Gesicht geschrieben. Sie wollten feiern – dann durchlitten sie Todesangst, sahen Menschen sterben. Nach der Massenpanik auf der Love Parade mit mindestens 19 Toten und mehr als 300 Verletzten werden Fragen laut. Viele aus dem Tunnel sind traumatisiert.
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,708355,00.html
Polizisten zu Love-Parade-Unglück
„Da war nur noch Chaos“
Von Jörg Diehl
Polizisten beschreiben erschreckende Szenen bei der Love Parade: Aufgeputschte und aggressive Raver trafen auf überforderte Organisatoren. „Die Stimmung war explosiv, viele schienen berauscht“, sagt ein Beamter – ein anderer glaubt, die Stadt Duisburg habe „allen Sicherheitsbedenken getrotzt“.
http://www.spiegel.de/panorama/0,1518,708349,00.html
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dimanche, 01 août 2010
La proposition Baettig vue de Flandre

La proposition Baettig, vue de Flandre
Le 1 janvier 1979, la Suisse se donnait un nouveau canton. Le Jura, à majorité francophone, fut à l’époque détaché du canton de Berne, majoritairement germanophone, après une consultation populaire le 24 septembre 1978. Il ne s’agissait pas seulement d’une question linguistique car les districts francophones protestants ont préféré demeurer bernois. Depuis lors, le Jura suisse n’a plus jamais fait la une de l’actualité internationale car il ne compte que 70.000 habitants, dont la capitale est Delémont (Delsberg en allemand) : c’est insuffisant pour intéresser les journalistes étrangers. Cela préoccupe peut-être les Jurassiens car ils habitent le long de la frontière française et possèdent désormais leur propre canton qui, officiellement, s’appelle « République et Canton du Jura ».
L’UDC/SVP n’était pas favorable à la sécession jurassienne dans les années 70 et mena campagne contre les sécessionnistes jurassiens, sans succès. En 2003, le SVP est devenu le plus grand parti de Suisse et l’est resté en 2007, avec 29% des voix. Ce parti se situe « à droite » de l’échiquier politique suisse et ne joue pas vraiment un rôle primordial dans l’épicentre du pouvoir helvétique, même s’il parvient, de temps en temps, à faire mousser le monde politique de la Confédération, notamment par le biais de referenda. Il suffit de songer au récent référendum sur les minarets, suivi à grande échelle par la population suisse.
Dans le Jura, l’UDC/SVP n’a pas la tâche facile et n’enregistre par les mêmes succès qu’ailleurs dans la Confédération, pour les raisons évoquées plus haut : l’hostilité du SVP à la sécession jurassienne contre Berne, il y a un peu plus de trente années. Dans le parlement cantonal ne siègent que trois députés UDC sur un total de soixante représentants du peuple, ce qui équivaut à un peu moins de 6% de l’électorat. Il n’y a que dans le Tessin italophone que l’UDC enregistre encore moins de scores, mais elle y fait front commun avec un parti régionaliste italophone.
Invitation
Etonnant mais vrai : un député UDC/SVP a pu obtenir un des deux sièges jurassiens au Conseil National en 2007. L’heureux élu est un certain Dominique Baettig, à qui on reproche d’avoir eu un parcours politique dans sa jeunesse qui n’était pas très « politiquement correct ». Etudiant, il aurait été actif dans quelques groupes d’extrême droite mais, au fil des années, l’homme s’est assagi, a obtenu un diplôme de psychiatre, a arrondi les angles de sa pensée et a navigué dans des eaux plus tranquilles.
Récemment, toutefois, Baettig a su attirer l’attention de tous les médias suisses en formulant une proposition surprenante. La Suisse, selon lui, devrait pouvoir se donner la possibilité légale d’offrir à une série de régions frontalières la chance de pouvoir rejoindre la Confédération Helvétique. Baettig voit grand et estime pouvoir éveiller un certain intérêt dans le Land allemand de Bade-Wurtemberg, dans les départements français de l’Ain, du Jura et de Savoie, en Alsace, dans les régions de Bolzano, Varese, Aoste et Côme en Italie et dans le Land autrichien du Vorarlberg. L’idée de Baettig ne suscite pas vraiment les sympathies en Suisse. Il a dû écoper des sourires de commisération, des haussements d’épaule et quelques rires sonores.
Le Conseil Fédéral, qui constitue le gouvernement de la Suisse, a rejeté sa proposition. Si la Suisse avait accepté le projet, cela aurait constitué « un geste inamical » à l’endroit des Etats voisins, estime le gouvernement. Les Etats voisins considèreraient à juste titre l’acceptation de cette proposition comme une provocation et cela nuirait aux bonnes relations qu’entretient la Confédération avec ses voisins. Les ministres helvétiques ont donc estimé qu’il ne fallait pas retenir la proposition Baettig.
Le gouvernement suisse émet une réticence supplémentaire quant à d’éventuelles sécessions dans les pays frontaliers de la Confédération : ces régions voisines devrait justement faire officiellement sécession. Or, en droit international, il n’existe aucun droit général autorisant la sécession, sauf comme ultima ratio, c’est-à-dire si des circonstances exceptionnelles justifient de se séparer de l’Etat auquel on appartient. Mais on ne peut évoquer de telles circonstances exceptionnelles pour les habitants de la région de Côme, du Land de Bade-Wurtemberg, de l’Alsace, etc. On ne doit pas s’attendre à ce que le gouvernement suisse considère comme circonstance exceptionnelle justifiant la sécession le fait de devoir vivre dans un pays gouverné par Berlusconi, Sarközy ou Merkel.
Des sondages surprenants
L’hebdomadaire suisse Weltwoche, qui n’est pas hostile à l’UDC/SVP, a voulu organiser un petit sondage à propos de la proposition Baettig et les résultats de ce sondage sont pour le moins très surprenants ! D’après le magazine suisse alémanique, une majorité de citoyens dans les régions concernées du Bade-Wurtemberg, du Vorarlberg, de la Savoie et des régions de Côme et de Varese aimerait devenir suisse. Chez les Autrichiens et les Italiens, plus de 52% des personnes interrogées souhaiteraient que leur région devienne partie intégrante de la Confédération Helvétique ; chez les Français et les Allemands, dans les régions dont question, l’adhésion à la Suisse suscite l’intérêt de 48% de citoyens. Ce qui les attire le plus est le système fiscal suisse, ce qui n’étonnera personne. Mais il y a aussi la démocratie directe de type helvétique qui séduit les habitants des régions alpines autour de la Suisse. Cependant, les ressortissants français, allemands, autrichiens ou italiens interrogés ne veulent pas sortir de la zone euro et adopter une « monnaie plus petite » ou quitter l’UE. Cela ne va pas dans le sens que souhaiterait Baettig car son parti est résolument hostile à l’UE.
On remarquera que les tenants et les adversaires de l’euro sont à ex æquo dans le Bade-Wurtemberg uniquement (45% contre 45%). Nous n’allons donc pas affirmer tout de go qu’un grand remaniement territorial est sur le point de s’effectuer en plein centre de l’Europe alpine. La proposition de Baettig est un « jeu », un jeu certes fort amusant, mais rien de plus. Mais cette proposition a révélé un état d’esprit riche de signification : à peu près la moitié des habitants des régions voisines de la Suisse, tous pays confondus, envisage, le cœur léger, de quitter l’Etat auquel elle appartient.
Cela prouve que la confiance des citoyens voisins de la Suisse dans les gouvernements français, allemand, italien ou autrichien n’est pas vraiment grande.
Anton BESENBACHER.
(Article tiré de « ‘t Pallieterke », Anvers, 28 juillet 2010 ; http://www.pallieterke.info/ ).
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Deutschland bald im Rohstoff-Krieg?
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samedi, 31 juillet 2010
Die neue geopolitische Bedeutung von Lubmin
00:08 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mer baltique, allemagne, russie, géopolitique, géostratégie, politique internationale, hydrocarbures, gaz, gaz naturel, énergie, europe, affaires européennes | |
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vendredi, 30 juillet 2010
Obama fianziert Israel-Gegner: Amerikanische Steuergelder für die Gaddafi=Stiftung
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jeudi, 29 juillet 2010
Presseschau - Juli 2010/2

Presseschau
Juli 2010/2
Einige Links. Bei Interesse anklicken...
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Nicht Rassen, sondern Völker sind die Träger der geschichtlichen Entwicklung. Völker oder Ethnien, wie der wissenschaftliche Terminus lautet, sind menschliche „Dauergemeinschaftsformen“ (Willy Hellpach), die sich durch eine gemeinsame Geschichte, Kultur und meist auch Sprache sowie ein aus dem Bewußtsein der gemeinsamen Herkunft und Verwandtschaft resultierendes Zusammengehörigkeitsgefühl auszeichnen. Die einzelnen Faktoren der ethnischen Zugehörigkeit können von Fall zu Fall von unterschiedlichem Gewicht sein; so ist z.B. bei manchen Völkern die Religionszugehörigkeit wichtiger als die Sprache. Die Historiker und Ethnologen betonen vor allem die subjektive Seite der ethnischen Identität, den Glauben an eine gemeinsame Abstammung und das „Wir-Gefühl“. Dagegen ist für die Anthropologie in erster Linie die bevölkerungsbiologische Seite von Völkern als Abstammungs- und Fortpflanzungsgemeinschaften von Belang: Völker zeichnen sich durch einen hohen Grad von Endogamie aus. Das heißt: Menschen heiraten vor allem innerhalb ihres eigenen Volkes und nur selten über die Volks- und Sprachgrenzen hinaus.
Der Prozeß der Umbildung und Neuentstehung ethnischer Gruppen wird Ethnogenese genannt. Die konkreten Ereignisse und Prozesse, die zur Entstehung neuer ethnischer Gruppen führen, sind geschichtlich-politischer Art, wie z.B. durch den freiwilligen Zusammenschluß mehrerer Stämme, durch Abspaltung von einem größeren Volk oder durch Eroberung und Unterwerfung einer anderen Bevölkerung. Allerdings ist die Anthropologie dabei nicht ganz bedeutungslos. Es besteht die Tendenz, daß sich kulturell und anthropologisch nahestehende Völker leichter zu neuen ethnischen Einheiten zusammenschließen als einander fernstehende. Zur Verschmelzung eher fremder Gruppen kommt es im allgemeinen nur im Anschluß an Eroberungen, und zwar meistens ungewollt – die Eroberer schotten sich in der Regel durch Heiratsverbote von den Unterworfenen ab – und nur über längere Zeiträume hinweg. Selbst die striktesten Heiratsgrenzen zwischen Eroberern und Unterworfenen werden schließlich durch die männliche Sexualität unterlaufen.
Einige Historiker und Ethnologen sehen die gemeinsame Abstammung einer Ethnie als nicht real an, als ein nachträgliches kulturelles Konstrukt zur Stabilisierung der ethnischen Identität, und betonen die oft heterogenen Ursprünge von Ethnien. Die Auffassung von Völkern als genealogischen Abstammungsgemeinschaften steht jedoch nicht im Widerspruch zu der Tatsache, daß viele Völker unterschiedliche anthropologische Elemente in sich aufgenommen haben. Die genealogische Einheit wird ja durch die Endogamie innerhalb des Volkes kontinuierlich hergestellt. Wer z.B. heute in Deutschland einen hugenottischen Namen trägt, hat unter seinen Vorfahren nur eine kleine Minderheit von französischen Ahnen, ist also auch biologisch ein Deutscher und kein Franzose.
Außerdem findet die Verschmelzung unterschiedlicher ethnischer Gruppen nicht wahllos statt, sondern geht als Assimilation durch ein ethnisch-kulturelles „organisierendes Zentrum“ (Wilhelm Emil Mühlmann) oder einen „Traditionskern“ (Reinhard Wenskus) vor sich. Die assimilierten Bevölkerungsteile nehmen die ethnische Identität des Traditionskernes an und verschmelzen gleichzeitig mit ihm durch Einheirat. So bedeutet Ethnogenese aus biologischer Sicht die Entstehung einer neuen Fortpflanzungsgemeinschaft durch die Aufhebung alter und die Errichtung neuer Fortplanzungsschranken sowie die daraus resultierende Umgliederung der anthropologischen Struktur einer Bevölkerung. Mit der Einschmelzung Fremder ändern die Völker ihre Gestalt und ihr Wesen – ein Vorgang, den man Ethnomorphose nennt.
(...)
Durch die Endogamie innerhalb eines Volkes und die Heiratsgrenzen gegen andere Völker entstehen neue kennzeichnende Merkmalskombinationen. Zu ihnen trägt auch die gemeinsame ökologische und kulturelle Umwelt bei. Auf genotypischer Ebene ist die Folge, daß die ethnische Zugehörigkeit eines Individuums aufgrund seiner genetischen Merkmale sehr genau bestimmt werden kann. Die sichtbaren Unterschiede auf phänotypischer Ebene werden von den Menschen mehr oder weniger bewußt wahrgenommen; sie sind als Selbst- und Fremdstereotypen Teil ihrer kulturellen Identität. Auf diese Weise hat jedes Volk einen als charakteristisch empfundenen morphologischen Norm- oder Idealtypus sowie eine mehr oder minder große Variationsbreite von nicht mehr unbedingt als typisch, aber auch noch nicht als fremd empfundenen Merkmalskombinationen. Dabei sind die Überschneidungen innerhalb Europas groß. Andere, im eigenen Volk nicht vorkommende Merkmale und Merkmalskombinationen werden als fremdartig wahrgenommen. (...)
(Andreas Vonderach: Anthropologie Europas. Völker, Typen und Gene vom Neandertaler bis zur Gegenwart, Graz 2008, S. 29 ff.)
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EU-Beitrittsverhandlungen
Türkei-Frage beschert Schwarz-Gelb neuen Ärger
Von Ralf Neukirch
Die kriselnde Bundesregierung steht vor ihrem nächsten Konflikt: Die CSU stemmt sich gegen einen möglichen EU-Beitritt der Türkei. Sie will die Debatte jetzt offensiv in die Koalition tragen – entgegen den Plänen von Kanzlerin Merkel.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,704898,00.html
Fjordman: Wer wird uns vor der NATO schützen?
Das westliche Verteidigungsbündnis NATO war ein Produkt des kalten Krieges. Während es damals ein nützliches Werkzeug gewesen sein mag, hat diese Organisation sich bis jetzt als absolut unfähig erwiesen mit den Wellen der islamischen Aggression fertig zu werden, sowie mit der Invasion der Dritten Welt durch Massenimmigration, die die westliche Welt überflutet. Es ist sehr wahrscheinlich, daß es bald einen konzertierten Vorstoß von Marokko geben wird, um sich die spanisch besetzten Enklaven Ceuta und Melilla zurück zu holen. Wie wird die NATO auf solch eine unverfrorene Attacke auf einen ihrer Mitgliedsstaaten reagieren? Wird sie überhaupt auf irgendeine bedeutungsvolle Art antworten?
http://www.die-gruene-pest.com/showthread.php?t=44868
http://europenews.dk/de/node/33487
Bundeswehr soll 9,3 Milliarden Euro einsparen
Das Verteidigungsministerium plant offenbar massive Kürzungen bei Waffen und Gerät. Nun wurde erstmals die Sparliste bekannt.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8347558/Bundeswehr-soll-9-3-Milliarden-Euro-einsparen.html
Bundeswehr-Reform
Guttenbergs Schrumpfkur offenbart Strategielosigkeit
Die Sparpläne des Verteidigungsministers belegen das Fehlen einer sicherheitspolitischen Vision, moniert SPD-Verteidigungs-Experte Bartels.
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article8355307/Guttenbergs-Schrumpfkur-offenbart-Strategielosigkeit.html
Bundeswehr-Inspekteur will die Infanterie stärken
„Flexibel einsetzbar und durchhaltefähig“ sollen die Kräfte für Landoperationen sein – trotz aller Spardiktate.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8391438/Bundeswehr-Inspekteur-will-die-Infanterie-staerken.html
Heeres-Inspekteur will trotz Sparens deutlich mehr Kampftruppen
http://de.reuters.com/article/domesticNews/idDEBEE66901G20100710
Soldaten leiden in der Heimat unter Schikanen
Im Auslandseinsatz riskieren Bundeswehrsoldaten ihr Leben. Zu Hause werden sie dafür offenbar oft angepöbelt und Opfer grausamer Scherze.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8216688/Soldaten-leiden-in-der-Heimat-unter-Schikanen.html
Verbrecherisch ...
EU fordert einheitliches Asylrecht für ganz Europa
Alle Mitgliedsländer der EU sollen die Aufnahme von Asylbewerbern gleich handhaben. Doch die Bundesregierung ist skeptisch.
von S. Bolzen und M. Lutz
Die Brüsseler EU-Kommission plant ein einheitliches Asylrecht für Europa. Es würde die seit der Grundgesetzänderung von 1993 in Deutschland geltenden Verschärfungen erheblich lockern. Wie die „Bild“-Zeitung am Freitag berichtete, sehen die Pläne der EU-Kommission eine Aufhebung der sogenannten Flughafenregelung vor. Auch die Dauer von Asylverfahren solle vereinheitlicht werden. Die EU-Kommission strebt verbindliche Fristen von sechs Monaten mit sechs Monaten Verlängerung in allen Mitgliedstaaten an.
http://www.welt.de/politik/ausland/article8385610/EU-fordert-einheitliches-Asylrecht-fuer-ganz-Europa.html
Brisantes Gutachten
Euro-Rettungsschirm verstößt gegen das Grundgesetz
Laut Studie ist die Öffentlichkeit getäuscht worden: Das Rettungspaket sei anders als behauptet nicht zeitlich befristet.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8302944/Euro-Rettungsschirm-verstoesst-gegen-das-Grundgesetz.html#reqRSS
Barroso: Umstürze im Süden Europas möglich
Die Führung der Europäischen Union schließt vor dem Hintergrund der Eurokrise offenbar ein Ende der parlamentarischen Demokratien in mehreren südeuropäischen Staaten (Griechenland, Spanien, Potugal) nicht aus. Von der deutschen Presse unbeachtet berichteten englisch- und spanischsprachige Medien unlängst über ein Treffen des Präsidenten der EU-Kommission, José Manuel Barroso, mit Gewerkschaftsführern. Bei der Zusammenkunft am 11. Juni habe der ehemalige portugiesische Ministerpräsident die Gewerkschaftsvertreter davor gewarnt, „daß diese Länder in ihrer demokratischen Gestaltung, wie wir sie derzeit kennen, verschwinden könnten“.
http://www.pi-news.net/2010/07/barroso-umstuerze-im-sueden-europas-moeglich/
Verdienen Frauen gerne weniger?
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5f4dab0f3a1.0.html
Arbeiten, bis der Arzt kommt
Der Burn-out wird zur Volkskrankheit. Woran liegt das? Eine Erkundung in der Arbeitswelt.
http://www.academics.de/wissenschaft/arbeiten_bis_der_arzt_kommt_38662.html?page=0
Energie
Zweiter Tag mit Stromausfall in New York
http://www.zeit.de/news-nt/2010/7/7/iptc-hfk-20100707-66-25468598xml
Stromausfälle in den USA und Kanada:
Dunkle Zeiten in Amerika
http://www.stern.de/politik/ausland/stromausfaelle-in-den-usa-und-kanada-dunkle-zeiten-in-amerika-1580736.html
„Wir müssen aus der Opferecke raus“
ISRAELKRITIK
Wer spricht für die Juden in Deutschland? Wer darf Israel kritisieren? Was löst diese Kritik aus? Ein Streitgespräch
http://www.taz.de/1/archiv/digitaz/artikel/?ressort=sw&dig=2010%2F07%2F03%2Fa0141&cHash=a73d9fd7b1
Jugendrichterin Kirsten Heisig: Der Selbstmord eines Justiz-Stars
Mit ihrem Kampf gegen Jugendkriminalität war die Berliner Richterin Kirsten Heisig bundesweit bekannt geworden, in Kürze sollte ein Buch erscheinen. Nun hat sie Selbstmord begangen. Ein Rückblick. Von Manuela Pfohl
http://www.stern.de/panorama/jugendrichterin-kirsten-heisig-der-selbstmord-eines-justiz-stars-1580061.html
Bericht der „Berliner Abendschau“ (Video) ...
Jugendrichterin Heisig gefunden
Die seit Tagen vermißten Berliner Richterin Kirsten Heisig ist am Samstag von der Polizei tot aufgefunden worden. Ihre Leiche wurde im Tegeler Forst im Norden der Stadt entdeckt. Auf einem angrenzenden Feld war seit Tagen nach Heisig gesucht worden
http://www.rbb-online.de/abendschau/archiv/abendschau_vom_03.html
Tote Richterin
Wie ich Kirsten Heisig erlebte
B.Z.-Reporter Ole Krüger begleitete Kirsten Heisig über zwei Jahre. Ein Nachruf.
http://www.bz-berlin.de/aktuell/berlin/wie-ich-kirsten-heisig-erlebte-article907489.html
Jürgen Elsässer wittert eine Verschwörung ...
Die Richterin und ihr Henker
Zum Tod von Kirsten Heisig. Erinnerungen an den „Selbstmord“ von Tron. Von Jürgen Elsässer
http://juergenelsaesser.wordpress.com/2010/07/05/die-richterin-und-ihr-henker/
Jugendrichterin Heisig soll sich erhängt haben!
Es ist zwar richtig, daß Frauen unberechenbar sind, trotzdem klingt die ganze Story nicht so richtig wahrscheinlich! Die couragierte Judendrichterin Heisig wurde tot aufgefunden. Erhängt an einem Baum? Selbstmord, im Wald? Wir warten auf weitere Meldungen und bleiben am Ball!
http://fact-fiction.net/?p=4555
Richterin Heisig ist tot
Richterin Heisig ist tot: Knapp 500 Meter von dem Ort, an dem ihr Mazda geparkt war, soll sie sich erhängt haben. Die Polizei läßt verlauten, es gebe „keinerlei Anzeichen für ein Fremdverschulden“. Von der Aue redete bereits von einer Selbsttötung, als die Leiche Heisigs noch nicht einmal obduziert war.
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=22979#more-22979
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=22958#more-22958
Polizist wegen Pro-NRW-Tätigkeit strafversetzt
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M530bc4f615e.0.html
Bürgermeister darf nicht zum Widerstand gegen NPD aufrufen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5d002284199.0.html
Totalitäre Allmachtsphantasien der extremen Linken ...
Not only fun at the „players night“
Immer wieder sieht man an Kiosken extrem rechte Zeitungen wie die „Deutsche Stimme“, „Junge Freiheit“ oder die „Deutsche Nationalzeitung“. Seit dem Dezember 2009 hat sich die Nazi-Zeitschrift ZUERST hinzugesellt und versucht sich als so genanntes „Deutsches Nachrichtenmagazin“. Doch was tun gegen diese braune Propaganda am Zeitschriftenstand?
http://blog.zeit.de/stoerungsmelder/2010/07/05/not-only-fun-at-the-players-night_3833
Linke Meinungsfreiheit: Keine „JF“ an Kiosken
Die extreme Linke gibt einmal mehr zu erkennen, was sie unter „demokratischem Sozialismus“ versteht. Auch wenn es nach Millionen von Toten durch wiederholte sozialistische Beglückungsversuche noch ein gut gehütetes Geheimnis ist: Sozialismus endet immer in Unterdrückung. Man muß daher der Linken dankbar sein, daß sie in diesem Sinne aufklärerisch wirkt.
Unter Demokratie versteht die Linke, daß alle ihrer Meinung zu sein haben. Um sicherstellen, daß dieser beglückende Zustand eintritt, soll das Meinungsspektrum auf DDR-Niveau eingeschränkt werden. Und so beteiligt sich das (ehemalige) Zentralorgan der SED Neues Deutschland an einer „Kampagne“ oder besser Kampfaufruf gegen Kioske, in denen tatsächlich neben linken Kampfblättern auch noch die Junge Freiheit (JF) angeboten wird.
http://www.pi-news.net/2010/07/linke-meinungsfreiheit-keine-jf-an-kiosken/#more-145578
Verwaltungsgericht: Antifa-Verein ist linksextrem
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5bfde6117c9.0.html
Linksextremisten machen Jagd auf Deutschlandflaggen
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5d0fd1183a4.0.html
Streit mit vermeintlich rechtsextremem Nachbarn in der Wetterau
http://www.nh24.de/index.php?option=com_content&view=article&id=34292:streit-mit-vermeintlich-rechtsextremem-nachbarn-in-der-wetterau-&catid=22:allgemein&Itemid=59
Berliner Senat will 8. Mai zum nationalen Gedenktag machen
BERLIN. Der 8. Mai soll nach dem Willen des Berliner Senats nationaler Gedenktag werden. Die rot-rote Berliner Landesregierung beschloß am Montag in einem entsprechenden Antrag, sich mit einer Bundesratsinitiative dafür einzusetzen, daß der Tag der deutschen Kapitulation als nationaler Gedenktag angemessen gewürdigt werde.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5f28cf7dfa1.0.html
Nürnberg bewirbt sich mit Schwurgerichtssaal für Weltkulturerbe
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M51ed11a6fc4.0.html
Attacke um jeden Preis
Blutiger als Stalingrad: Bei Rschew lieferten sich Wehrmacht und Rote Armee monatelang erbitterte Stellungskämpfe. Stalin drängte zur rücksichtslosen Offensive, um die Deutschen einzukesseln. Hitler mußte erstmals einen Rückzug befehligen – dann wurde Rschew auch für einen russischen Kriegshelden zum Fiasko. Von Christian Neef
[Suggestiv in den Einstiegsteil des Artikels eingeflochten ist die Geschichte eines von deutschen Soldaten begangenen Kriegsverbrechens. Immerhin wird nicht unterschlagen, daß die Täter von deutscher Seite dafür mit dem Tode bestraft wurden (auch wenn der „Spiegel“-Schreiberling dieses entscheidende Faktum für komplett nebensächlich hält)!]
http://einestages.spiegel.de/static/topicalbumbackground/11121/attacke_um_jeden_preis.html
Iron Sky
Science-Fiction-Film über NS-Invasion aus dem All geht in die Produktionsphase
http://www.ironsky.net/
Zum Tod von Fritz Teufel
„Wenn es der Wahrhheitsfindung dient ...“
http://www.zweitausendeins.de/writersblog/broeckers/index.cfm?CT=1
Interview vom Januar
Fritz Teufel: „Ich war am anfälligsten für die Liebe“
http://www.tagesspiegel.de/politik/deutschland/ich-war-am-anfaelligsten-fuer-die-liebe/1670424.html
BRAUNBUCH
Kriegs- und Naziverbrecher in der Bundesrepublik und in Westberlin
(DDR-Schmöker)
http://www.braunbuch.de/index.shtml
Das rote Blog
Kein Kommunismus ist auch keine Lösung!
http://www.woschod.de/
J.W. Stalin
Werke und Texte
http://www.stalinwerke.de/
Veritas – Kommunistische Musik
http://www.danile.de/index.shtml
Sozialistische Gedenkstätten
Diese Seite ist dem Gedenken an die Opfer im Kampf für eine bessere Welt
und der Verfolgung von Menschen aus rassistischen Motiven gewidmet.
http://www.sozialistische-gedenkstaetten.de/
Bibliothek deutscher Kämpfer für den Sozialismus
http://www.deutsche-kommunisten.de/
Migranten-Klage
Berliner Türken zeigen Sarrazin an
Thilo Sarrazins Thesen zurm Bildungsniveau von Migranten haben ein juristisches Nachspiel.
In Berlin lebende Türken haben Strafanzeige gegen Bundesbank-Vorstand Thilo Sarrazin (SPD) wegen Volksverhetzung erstattet. Sie werfen dem früheren Berliner Finanzsenator eine „gezielt beleidigende rassistische Äußerung“ vor, die „den Rahmen der Meinungsäußerung verläßt“, teilte eine Anwaltskanzlei mit.
Sarrazin hatte im Juni die Befürchtung geäußert, das schwächere Bildungsniveau vieler Zuwanderer wirke sich negativ auf Deutschland aus. „Wir werden auf natürlichem Wege durchschnittlich dümmer“, sagte der 65jährige. Die Anzeige gegen Sarrazin erstatteten der Vorsitzende der Türkisch- Deutschen Unternehmervereinigung Berlin-Brandenburg und Anwälte.
http://www.bz-berlin.de/aktuell/berlin/berliner-tuerken-zeigen-sarrazin-an-article909619.html
Jean Raspail und die Fahne von Neukölln
http://www.sezession.de/16529/jean-raspail-und-die-fahne-von-neukoelln.html#more-16529
Hamburg
„20-Cent-Killer“ soll Freundin schwer verletzt haben
http://www.spiegel.de/panorama/justiz/0,1518,704677,00.html
Ein Killer für die Ex-Freundin
Türkischer Geschäftsmann wollte die Frau, die ihn nicht heiraten wollte, erschießen lassen
http://www.fnp.de/fnp/region/lokales/ein-killer-fuer-die-exfreundin_rmn01.c.7903553.de.html
Massenschlägerei
Familienclans geraten aneinander – Neuköllner Freibad geräumt
http://www.tagesspiegel.de/berlin/polizei-justiz/familienclans-geraten-aneinander-neukoellner-freibad-geraeumt/1880620.html;jsessionid=2F13F600F4A4A72C0B44AEF5CCD22805
Rheinberg
23jährigen mit Baseballschläger zusammengeschlagen
http://www.rp-online.de/niederrheinnord/rheinberg/nachrichten/rheinberg/23-Jaehrigen-mit-Baseballschlaeger-zusammen-geschlagen_aid_878072.html
POL-H: Zeugenaufruf! Mann mit Schlagring schwer verletzt
Hannover (ots) – Am Sonntag morgen gegen 06:00 Uhr ist es vor einer Disko an der Straße Varrelheidering zu einer körperlichen Auseinandersetzung gekommen, wobei ein 21jähriger schwer verletzt wurde. Die Polizei sucht dringend Zeugen.
http://www.presseportal.de/polizeipresse/pm/66841/1643194/polizeidirektion_hannover
Der Krieg in unseren Städten
Von Judith
Unter Foristen und Blogbetreibern rechter Blogs ist der Bürgerkrieg ein häufiges Thema. Manche glauben, so etwas fände in der BRD nie statt, viele meinen, er rücke näher, einige – zu denen auch ich gehöre – sind der Meinung, er sei längst da. Wenn auch [noch] nicht in allen Gegenden der BRD in gleichem Maße spürbar.
http://www.deutschland-kontrovers.net/?p=22936
Briefchen an Mesut Özil, vor dem Halbfinale geschrieben
http://www.sezession.de/16580/briefchen-an-mesut-oezil-vor-dem-halbfinale-geschrieben.html#more-16580
Finale –
– dazu hat es dann doch nicht gereicht. Aber eine beeindruckende Leistung der deutschen Nationalmannschaft war dieses Turnier unterm Strich trotzdem. Und obwohl zu diesem Thema eigentlich bereits genug Pixel verschossen worden sind: Doch, man kann schon einige Lehren aus der Nationalmannschaft auf die gesellschaftlichen Verhältnisse im Deutschland des 21. Jahrhunderts übertragen.
Von Michael Paulwitz
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M548de66ebf1.0.html
Deutschland kann auch gewinnen ...
Kinoreife Gegenwehr bei Raubüberfall
56jähriger schlägt vier Männer in die Flucht
http://www.newsclick.de/index.jsp/menuid/2048/artid/12584732
http://www.polizeipresse.de/pm/11554
http://www.polizeipresse.de/rss/dst_11554.rss2
Bundesgerichtshof-Urteil
„Konservative“ wollen Gen-Selektion von Embryonen verbieten
Wie weit dürfen Krankheitsprävention und genetische Selektion gehen? Der Bundesgerichtshof hat die umstrittene Präimplantationsdiagnostik für legal erklärt – prominente Unionspolitiker dringen jetzt im SPIEGEL auf ein Testverbot bei Embryonen.
[ANMERKUNG: Eine humane Eugenik ist sinnvoll und lebensdienlich, also im besten Sinne konservativ. Was die Union hier abzieht, ist einfach nur blödsinnig und fehlgeleitet. Prinzipientreue an der komplett falschen Stelle ...]
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,705740,00.html
ARAL/BP-Pest: Am Öl des Golfes sterben Vogel, Pflanze, Fisch - und Pressefreiheit
Kein Wunder, daß die Amerikaner nun verbieten, daß man von den ölverpesteten Tieren oder den laienhaften Aufräumarbeiten Photos oder Videos macht. Hier ein Flug über das Katastrophengebiet, wo Aral/BP und Obama ihre Unfähigkeit seit vielen Wochen eindrucksvoll unter Beweis stellen:
http://ralfschwartz.typepad.com/mc/2010/07/bparal-oelpest.html
Gerold Becker
Ex-Leiter der Odenwaldschule ist tot
Gerold Becker, der langjährige Leiter der Odenwaldschule, ist in der Nacht zu Donnerstag gestorben – kurz bevor ein Wahrheitsforum über den Mißbrauch in den siebziger Jahren zusammentritt. Der Ex-Schuldirektor galt als Hauptbeschuldigter in dem Skandal.
http://www.spiegel.de/panorama/gesellschaft/0,1518,705608,00.html
Villa Bellavista
Neue Bauten nach historischen Vorbildern
http://www.villa-belavista.de/index.php
Entwürfe:
http://www.villa-belavista.de/entwurf.php
Die mazedonische Hauptstadt Skopje wird zu einem nationalen Monument mit neoklassizistischer Architektur und Skulpturen zur eigenen Geschichte umgebaut. Doch auch Kritiker melden sich umgehend zu Wort ...
- Der Identitätsstifter wird zum Spalter
http://derstandard.at/1277337250871/derStandardat-Reportage-Der-Identitaetsstifter-wird-zum-Spalter
- Video: Macedonia Timeless Capital Skopje 2014
http://www.youtube.com/watch?v=iybmt-iLysU&feature=player_embedded
- Critics Lash ‘Dated’ Aesthetics of Skopje 2014
http://www.balkaninsight.com/en/main/analysis/29030/
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mercredi, 28 juillet 2010
Stecken von der NATO gedeckte Drogenkriege hinter der jüngsten Instabilität in Kirgisistan?
11:34 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : afghanistan, géopolitique, asie, affaires asiatiques, eurasie, moyen orient, drogues, narco-trafic, etats=unis, otan, politique internationale | |
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lundi, 12 juillet 2010
Wallonie: le retour des régionalistes
« Picard » / « ‘t Pallieterke » :
Wallonie : le retour des régionalistes
« La Communauté Française a dégénéré en une machine de guerre antiflamande ». Non, cette forte parole n’a pas été prononcée par Bart De Wever, chef de file de la NVA et grand vainqueur des élections législatives belges du 13 juin 2010, ou de Bruno Valkeniers, le président du Vlaams Belang, ou encore du Bourgmestre de Lennik Willy de Waele ou par un membre du CD&V démocrate chrétien flamand en phase de délire et qui aurait acquis, pour un bref laps de temps, des réflexes flamingants. Cette forte parole est celle d’un Wallon pur et dur : elle est extraite d’un entretien accordé par Philippe Destatte (photo) à l’hebdomadaire « Le Vif ».
Destatte n’est pas le premier venu. Il dirige l’Institut Jules Destrée. Cette institution porte le nom d’un socialiste wallingant qui avait constaté, voici près d’un siècle, « qu’il n’y avait pas de Belges ». Elle a pour objectif de promouvoir l’identité wallonne. Dans les faits, cet institut est la « boîte à penser » des régionalistes wallons. Au cours de ces dix ou quinze dernières années, l’Institut Jules Destrée n’avait plus été sous les feux de la rampe. La publication de l’Encyclopédie du Mouvement Wallon, au début de cette décennie, avait rappelé au public l’existence de l’Institut.
En Wallonie, Destatte et ses collaborateurs agaçaient quelque peu le petit monde de la politique. Les termes « régionalisme » et « wallingantisme » étaient devenus des gros mots. Le belgicisme (avec, à la clef, le maintien de la sécurité sociale comme compétence fédérale) avait pris le pas sur le régionalisme. Y compris dans les rangs du plus régionaliste des partis francophones du Royaume de Belgique, le PS. On avait partout mis les wallingants sur une voie de garage.
Depuis peu, le vent a tourné. Maintenant que la NVA vient d’obtenir une victoire électorale retentissante et que le PS est redevenu tout-puissant en Wallonie, les régionalistes wallons retrouvent une bonne occasion de revenir à l’avant-plan. Après avoir été traités en parias pendant de si longues années, ils reprennent l’offensive.
Ils savent ce qu’ils veulent. A leurs yeux, la Wallonie aura dans les années à venir une chance unique d’obtenir de nouvelles compétences et de mener sa propre politique, en se détachant de Bruxelles.
Chez les régionalistes wallons, on a toujours repéré une sorte de rejet de Bruxelles. Ou bien les Bruxellois étaient campés comme les héritiers de ces bourgeois du 19ème siècle qui avaient pompé toutes les énergies de la Wallonie et puis avaient laissé tombé cette région. Ou bien les Bruxellois sont perçus comme une bande de mendigots qui viennent quémander des sous à la Wallonie, contrecarrant de la sorte le développement économique de la région. Les régionalistes wallons actuels veulent rompre le lien entre Bruxelles et la Wallonie. Ce qui signifie la fin de la « Communauté française » (*). Les compétences dévolues à ce niveau administratif-là doivent être reprises et par la région de Bruxelles-Capitale et par la Région wallonne.
Destatte est un fervent partisan du démantèlement progressif de la « Communauté française ». Wallingant convaincu, il estime que ce niveau de compétences dans l’architecture institutionnelle belge est une aberration. De surcroît, ajoute Destatte, la « Communauté française » ne respecte pas la frontière linguistique. Elle a donc déchu en un instrument de combat contre les Flamands. Le directeur de l’Institut Jules Destrée, wallon de cœur, est un fervent partisan du maintien de la frontière lingustique telle qu’elle existe aujourd’hui. En défendant ce point de vue politique, il se réfère à la vieille exigence wallonne d’avoir un territoire unilingue francophone. On sait que, dans l’histoire, la demande wallonne de respecter le principe de territorialité a conduit aussi à faire de la Flandre une région unilingue. Destatte estime totalement incongru que certains Francophones veulent modifier la frontière linguistique. Le fait que la « Communauté française » est instrumentalisée pour modifier cette frontière, le fâche encore davantage. Pour Destatte, le croquemitaine n’est pas Bart De Wever mais bien Joëlle Milquet ou Olivier Maingain.
On pourrait penser que Destatte est un intellectuel déconnecté des réalités de ce bas monde : rien n’est plus faux. Il est un partisan acharné du transfert d’un maximum de compétences vers les régions, ce qui lui garanti l’oreille de certains milieux syndicalistes wallons. Le chef des métallos wallons a déjà plaidé pour « une scission d’à peu près tout, sauf la sécurité sociale ». D’autres syndicalistes wallons souscrivent à ce plaidoyer.
Il y a aussi des politiciens wallons qui abondent dans ce sens. D’anciens chefs de file viennent de rompre le silence qu’ils s’étaient imposé pendant des années. Nous songeons surtout à Robert Collignon, ancien ministre-président wallon. Dans la plus pure tradition wallingante de respect pour le principe de territorialité, Collignon ne veut rien entendre d’un arrondissement électoral fédéral. Et il va plus loin : il vaudrait mieux, dit-il, régionaliser la fiscalité et même la justice. Refédéraliser certaines compétences relève selon lui de l’enfantillage. A ses yeux, il n’y a plus de politiciens belges, il n’y a plus que des politiciens flamands ou wallons. Lorsque des hommes politiques wallons en arrivent à de telles conclusions, nous ferions bien, nous les Flamands, d’y accorder une oreille attentive.
« Picard » / « ‘t Pallieterke ».
(article paru dans « ‘t Pallieterke », Anvers, 7 juillet 2010).
Note :
(*) Dans le jargon institutionnel belge, la « Communauté française » regroupe un ensemble de compétences régionales, dont l’enseignement, propres à Bruxelles et à la Wallonie. L’architecture institutionnelle belge, connue pour sa complexité, se présente comme suit : il existe un niveau fédéral, trois niveaux régionaux et trois niveaux communautaires. Le niveau fédéral belge recouvre toutes les compétences qui ne sont pas régionalisées ou communautarisées. Les régions sont la Région flamande, la Région wallonne et la région de Bruxelles-Capitale. Elles ont des limites territoriales bien définies. Les communautés regroupent les citoyens par affinités linguistiques ; elles sont au nombre de trois : la communauté flamande, qui coïncide avec la région flamande et a fusionné avec elle ; la communauté française regroupe les Wallons francophones (à l’exclusion des germanophones vivant dans les cantons de l’Est de la Région wallonne, soit les cantons d’Eupen et de Saint-Vith) ; la communauté germanophone qui exerce ses compétences sur les cantons d’Eupen et de Saint-Vith. La Communauté française exerce des compétences sur les régions de Bruxelles-Capitale (dix-neuf communes) et sur la Région wallonne, à l’exclusion des cantons germanophones d’Eupen et de Saint-Vith. Les régionalistes wallons estiment que le niveau de pouvoir que constitue la « Communauté française » est inutile et veulent une situation à la flamande où niveaux communautaire et régional ont fusionné. Une telle fusion en Wallonie se ferait à l’exclusion des dix-neuf communes de Bruxelles où, faut-il l’ajouter avec une certaine malice, 35% de la population est d’origine turque ou maghrébine, sans attache aucune avec la Wallonie industrielle ou rurale. In petto, ces régionalistes se demandent sans doute pourquoi les Wallons devraient cofinancer l’enseignement prodigué à ces communautés-là ou toutes les autres initiatives communautaires voire « communautaristes » qui ne sont ni flamandes ni wallonnes ni allemandes.
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dimanche, 11 juillet 2010
Le Traité du Trianon fut une catastrophe pour l'Europe entière!

Le Traité du Trianon fut une catastrophe pour l’Europe entière!
Entretien avec Gabor Vona, président du parti “Jobbik” sur les conséquences du Traité du Trianon et sur la situation des minorités hongroises en Europe centrale
Q. : Monsieur Vona, il y a 90 ans, les puissances signaient le traité du Trianon. Quelles sont les conséquences de ce Traité sur la Hongrie actuelle ?
GV : Laissez-moi d’abord vous expliquer la terminologie de cette question épineuse : d’après moi, tout traité est le suite logique de négociations ; or ce qui s’est passé après la seconde guerre mondiale dans le château du Trianon à Versailles relève du diktat et non de négociations ; les ennemis de la Hongrie ont décidé du sort de notre pays en tablant sur des mensonges, des chiffres falsifiés et de faux rapports. L’Europe centrale, et avec elle le Royaume de Hongrie tout particulièrement, a été morcelée par la faute d’une coalition de superpuissances à courtes vues et par un groupe d’Etats avides, calculateurs et frustrés, que nous connaissons depuis sous le nom de « Petite Entente ».
Pour les Hongrois, le Traité du Trianon est synonyme d’une tentative de liquider purement et simplement le peuple hongrois. La perte de régions stratégiquement, culturellement et économiquement importantes et de leurs habitants signifie une perte démographique, culturelle et économique qui se ressent encore aujourd’hui dans notre pays, pour ne rien dire des dommages d’ordres psychologique et spirituel que le Traité du Trianon à infligé à notre conscience collective.
Mais les résultats du traité du Trianon n’ont pas été une tragédie que pour les seuls Hongrois : ce fut une tragédie pour l’Europe entière. Parce que le Traité du Trianon et les autres diktats imposés par les vainqueurs dans la région parisienne ont déstabilisé l’Europe centrale et orientale et ont été la cause de conflits non encore résolus dans la région. Tant l’effondrement général de l’ex-Yougoslavie dans la violence que la séparation pacifique de la Tchécoslovaquie en deux entités étatiques prouvent que les assises de ce Traité du Trianon étaient insensées.
Q. : La Hongrie a perdu plus des deux tiers de son territoire et plus de trois millions de Hongrois ont été placés sous l’autorité d’Etats voisins. Dans quelle mesure cette tragédie nationale a-t-elle transformé la mentalité des Hongrois ?
GV : Immédiatement après la tragédie que fut le Traité du Trianon, la Hongrie est parvenue à se consolider très rapidement pendant l’ère chrétienne-conservatrice de l’Amiral Miklos Horthy. L’ère Horthy a permis de libérer des énergies positives pour le bien de la nation hongroise : en un laps de temps très bref, la Hongrie a réussi à reconstruire ses infrastructures, son industrie, son armée et ses forces de police. Le régime de Horthy jeta les bases d’une économie saine et efficace, soutenue par l’une des monnaies les plus stables d’Europe. Ce régime mit également sur pied un système éducatif solide et apte à soutenir la concurrence. La vie culturelle était florissante. Sous Horthy, la Hongrie avait une élite nationale impressionnante et bien formée, qui poursuivait un objectif : réviser les clauses du diktat injuste du Trianon et qui était prête à défendre les minorité ethniques magyares au-delà des nouvelles frontières de l’Etat hongrois résiduaire en menant une diplomatie offensive et même, s’il le fallait, en faisant appel aux forces armées. L’objectif déclaré, réunifier la nation, a pu être atteint, du moins partiellement. Mais depuis cette époque, nous, Hongrois, n’avons plus d’élite nationale. Pendant les cinq décennies de communisme, nous avions une élite d’obédience internationaliste et, aujourd’hui, nous avons une élite qui croit à l’idéologie de la globalisation. Aucune de ces élites n’a été ou n’est capable ou désireuse de défendre les intérêts nationaux. Il faut ajouter que ces « élites » ont eu la pire influence qui soit sur la mentalité actuelle du peuple hongrois.
Q : Récemment, le Parlement hongrois a décidé de faire passer une loi sur la « double citoyenneté » et cela a conduit à des tensions avec la Slovaquie. Comprenez-vous les critiques émises par les Slovaques ?
GV : Non. Mais je ne crois pas qu’il s’agit, en ce cas précis, d’une mécompréhension du problème. la Slovaquie, en effet, se comporte comme un adolescent frustré, qui approche de ses vingt ans, développe un complexe d’infériorité et réagit de manière disproportionnée face à une loi qui est entièrement au diapason de ce que demandent le droit des gens, les conventions réglementant les droits de l’homme et les principes du Conseil de l’Europe. Il y a quelques semaines, des élections ont eu lieu en Slovaquie et, comme vous l’aurez appris, la rhétorique anti-hongroise s’y est révélée capable de rapporter le maximum de voix. Ce n’est dès lors pas un miracle qu’aucun parti slovaque n’a pu se soustraire à ce chœur anti-hongrois…
Q. : Plus d’un demi million de Hongrois ethniques vivent en Slovaquie où, l’an passé, le Parlement a fait passer la loi dite « de protection de la langue slovaque ». Dans quelle mesure celle loi discrimine-t-elle les Hongrois ? Pouvez-vous nous expliquer quelle est la situation de la minorité hongroise en Slovaquie ?
GV : La loi sur la langue slovaque a pour noyau que tous les citoyens, pour toutes les questions administratives, ne peuvent utiliser que la seule langue slovaque ; ensuite toute infraction à cette loi est passible de sanctions sévères, imposées par l’Etat. Comme les Hongrois sont la seule minorité importante en Slovaquie, il est clair que cette loi vise principalement les Hongrois ethniques. Cette loi correspond parfaitement à la rhétorique anti-hongroise récurrente et aux pratiques législatives habituelles du gouvernement slovaque. Pour comprendre l’absurdité de cette loi, il faut savoir que la majorité des Hongrois ethniques (près de 10% de la population) vit dans le sud de la Slovaquie dans une région bien délimitée. Dans cette région, on rencontre très souvent des villes ou des villages entièrement hongrois où tous parlent hongrois, y compris les fonctionnaires de l’hôtel de ville ou de l’administration municipale, de la poste ou de la police. Par cette loi, un Hongrois ethnique est désormais contraint d’utiliser la langue slovaque pour s’adresser à un autre Hongrois ethnique qui, lui, travaille, dans un bureau de poste de village où, plus que probablement, tous les clients de la journée parlent hongrois. Tout cela se passe au 21ième siècle, dans l’Union Européenne, avec l’accord tacite de l’UE…
Q. : L’UE garde le silence sur le traitement infligé aux Hongrois ethniques de Slovaquie. Ce comportement est-il objectif ?
GV : Parmi les plus importantes demandes formulées au moment où la Hongrie adhérait à l’UE, il y avait celle qui réclamait de celle-ci qu’elle ne tolèrerait pas les discriminations infligées aux Hongrois ethniques. Ensuite, il y avait une demande plus claire encore : l’UE devait accepter la disparition éventuelle de certaines frontières, de façon à ce qu’un peuple puisse, le cas échéant, se réunifier. Nous avons beaucoup entendu parler des « valeurs communes » de l’Europe, lesquelles rejetaient les discriminations et les politiques de deux poids deux mesures, pratiquées sur la base de la race ou de l’ethnie. Maintenant, nous entendons très peu d’échos de ces « valeurs », censées être contraignantes. L’Europe se tait lorsque des Hongrois ethniques sont molestés parce qu’ils parlent leur langue maternelle, lorsque des supporters du club de football de Dunaszerdahely sont attaqués brutalement par la police ou quand une loi discriminante se voit ratifiée par le Parlement slovaque.
Q. : Et quelle est la situation des minorités hongroises en Roumanie, en Serbie et en Ukraine ?
GV : Dans chacun de ces pays, la situation est différente, relève d’une histoire et d’un contexte différents. Toutefois, entre tous ces pays, un point commun : la volonté du gouvernement en place de contraindre les minorités hongroises, qui vivent sur leur territoire, à s’assimiler.
Q. : Jusqu’en 1921, le Burgenland, aujourd’hui autrichien, appartenait à la Hongrie. Pourquoi n’y a-t-il pas de tensions entre l’Autriche et la Hongrie au sujet de ce territoire ? Est-ce dû à la « communauté de destin » partagée par les vaincus de la première guerre mondiale ?
GV : Vaincus ? Pour ce qui concerne le Burgenland, l’Autriche appartient plutôt au camp des vainqueurs, puisqu’elle a reçu un territoire auparavant hongrois. Du point de vue hongrois, cela paraît étrange d’avoir perdu un territoire au profit de l’Autriche, après que nous ayons combattu côte à côte pendant une guerre. Je pense que la raison pour laquelle le Burgenland ne constitue pas un objet de tension entre nos deux Etats, c’est que l’Autriche ne considère pas la minorité hongroise comme un danger pour l’unité du peuple et de l’Etat. Malheureusement, l’hostilité aux Hongrois ethniques que l’on perçoit en Slovaquie, en Roumanie, en Serbie et en Ukraine est largement répandue.
Q. : Dans l’UE les frontières entre Etats perdent de jour en jour plus d’importance. L’UE ne pourrait-elle pas édulcorer les conséquences du Diktat du Trianon ?
GV : Non. La rhétorique de l’UE et de ses partisans ressemble très fort aux professions de foi internationalistes des communistes. Le socialisme, bien qu’axé sur une autre logique utopique, cherche, lui aussi, à annihiler l’Etat national. Si l’UE pouvait constituer une solution, alors les relations entre la Hongrie et ses voisins, également membres de l’UE, devraient sans cesse s’améliorer. Mais nos expériences indiquent exactement le contraire…
Q. : Pensez-vous que soient possibles une révision du Diktat du Trianon et une réunification des territoires peuplés de Hongrois dans les Etats limitrophes de la Hongrie actuelle avec celle-ci ?
GV : Pour que cela advienne, il faut que la Hongrie se dote d’abord d’une véritable élite nationale, au service des intérêts du peuple. C’est là une condition incontournable pour la renaissance spirituelle de notre pays.
(entretien paru dans « zur Zeit », Vienne, n°24/2010 ; propos recueillis par Bernhard Tomaschitz).
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CIA-Geheimbericht: Deutsche öffentlichkeit soll für Afghanistan-Krieg manipuliert werden
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samedi, 10 juillet 2010
Rumänien: Im Namen des Volkes
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Le démembrement de la Hongrie - Le Diktat du Trianon et sa révision partielle
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Erich KÖRNER-LAKATOS :
Le démembrement de la Hongrie
Le Diktat du Trianon et sa révision partielle
Après la défaite de Mohacs en 1526 contre les Turcs, le Traité du Trianon est la seconde grande catastrophe subie par le peuple magyar. Le 4 juin 1920, le ministre plénipotentiaire hongrois Agoston Bénard et l’envoyé Alfred Drasche-Lazar signent, dans les salles du château de plaisance du Trianon les actes du traité fatidique pour la Hongrie. En guise de protestation contre ce Diktat imposé par les vainqueurs, les deux hommes ont signé debout. Car la délégation de Budapest avec, à sa tête, le Comte Albert Apponyi, subit en fait le même sort que les Autrichiens guidés par Karl Renner : tous ses arguments, sans exception, n’ont aucun impact. A la suite de ces vaines tentatives de négociations, les délégués hongrois sont contraints de signer le texte formulé et imposé par les vainqueurs.
Toute la Hongrie met les drapeaux en berne. Plus des deux tiers du territoire de l’Etat hongrois doivent être cédés, avec 60% de ses citoyens d’avant-guerre qui deviennent en un tournemain des étrangers, parmi lesquels trois millions de Magyars ethniques. La Transylvanie, la Batschka et le Banat, les « Hautes Terres » (c’est-à-dire la Slovaquie) et l’accès à la mer par Fiume : tout est perdu. Même la Pologne, amie par tradition, reçoit quelques lambeaux de sol hongrois dans les Tatras. De plus, le Royaume de Croatie tout entier, avec ses 52.541 km2, est arraché à la Hongrie, alors qu’il était lié à elle par le biais d’une union personnelle depuis le 12ème siècle et où, selon le recensement de 1910, vivaient 105.948 Hongrois. La Croatie, bon gré mal gré, devient partie intégrante du Royaume des Serbes, Croates et Slovènes. « Nem, nem, soha ! » (« Non, non, jamais » !), entend-on de toutes parts. Les uns, en songeant au rude traitement parfois infligé aux composantes ethniques non magyares avant 1914, veulent réviser le Traité du Trianon de manière minimaliste en réclamant que les régions peuplées de Magyars reviennent à la mère patrie ; les autres, plus radicaux, lancent le mot d’ordre « Mindent vissza ! » (« Tout doit revenir ! ») et réclament le statu quo ante.
Par le biais du Protocole de Venise et du référendum contesté dans la région d’Ödenburg, Budapest parvient en décembre 1921 à obtenir une révision très modeste du Diktat : les territoires retournés ont une superficie de 292 km2, où vivent 50.023 citoyens. A la suite d’une décision de la Commission des Frontières de l’Entente, quelques villages le long de la rivière Pinka (Nahring, Schilding, Kroatisch-Schützen, Pernau et Grossdorf) retournent sous souveraineté hongroise : en tout 67 km2. A ces villages, il faut ajouter Prostrum et Bleigraben.
En juin 1927, le pays entre en ébullition car le quotidien londonien « Daily Mail », dans son édition du 21 juin, fait paraître un article titré « Hungary’s Place in the Sun » (« La place de la Hongrie sous le soleil »). L’auteur de cet article n’est rien moins que le magnat de la presse Lord Rothermere, dont le nom civil est Harold Sidney Harmsworth. Ce Lord Rothermere réclame une révision du Diktat du Trianon sur base ethnique-nationale. A Budapest, les optimistes pensent qu’il s’agit d’une initiative des affaires étrangères britanniques, ce qui s’avère bien rapidement un vœu pieux. Malgré cela, des centaines de milliers de personnes exultent quand Lors Rothermere vient en Hongrie pour visiter le pays. Certes, le Lord reste loyal à l’égard de la Hongrie, sponsorise le vol transocéanique entre Budapest et le New Foundland en juillet 1931, quatre ans après le vol en solitaire de Charles Lindbergh. L’appareil porte sur ses ailes une inscription, « Justice for Hungary », et traverse l’Atlantique en moins de quatorze heures.
Mais, à ce moment-là, il n’est pas question de songer à modifier les frontières imposées par le Traité du Trianon. En pratique, la Hongrie est presque entièrement encerclée par les puissances de la « Petite Entente », l’alliance militaire entre Prague, Belgrade et Bucarest. Il faut attendre 1938 pour que la situation se modifie. En août, le Régent du Royaume, Horthy, est à Kiel en tant que dernier Commandeur de la Marine de guerre impériale et royale austro-hongroise ; il y est l’invité d’honneur d’Adolf Hitler à l’occasion du lancement du croiseur lourd « Prince Eugène » (Prinz Eugen). On en arrive à parler de la Tchécoslovaquie mais, à la grande déception de son hôte allemand, le Régent Horthy préconise une solution pacifique à la question.
Lors des Accords de Munich, Mussolini jette dans les débats la questions des revendications polonaises (le territoire de Teschen) et hongroises sur la Tchécoslovaquie, ce qui débouche sur le premier Arbitrage de Vienne du 2 novembre 1938, qui accorde à la Hongrie une bande territoriale le long de la frontière hungaro-slovaque. Acclamé par la foule, le Régent, chevauchant un destrier blanc, entre dans la petite ville de Kaschau, accompagné de Lord Rothermere. En mars 1939, la Tchéquie résiduaire s’effondre et les troupes de la Honvéd (l’armée nationale hongroise) occupent l’Ukraine subcarpathique jusqu’à la frontière polonaise.
Un autre ardent désir des Hongrois se voit exaucé, du moins partiellement, par le second arbitrage de Vienne : le retour de la partie septentrionale de la Transylvanie avec l’enclave des Szekler (13.200 km2 avec un demi million d’habitants, dont 91% de langue hongroise). Cette région se trouve sur les flancs des Carpates orientales. Le 30 août 1940, lorsque la carte des nouveaux changements de frontières est présentée dans les salons du Château du Belvédère à Vienne, le ministre roumain des affaires étrangères Mihail Manoilescu s’effondre, terrassé par une crise cardiaque.
L’étape suivante (la dernière) a lieu en avril 1941. A la suite de la campagne militaire menée contre la Yougoslavie, les troupes de la Honvéd entrent dans la plupart des régions de la Batschka, peuplée de Hongrois. L’armée hongroise occupe également l’île de Mur entre les rivières Drave et Mur, au nord de Varajdin. Le Banat occidental (la partie orientale de cette région avait été attribuée à la Roumanie par le Traité du Trianon), avec ses 640.000 habitants, dont un bon nombre d’Allemands ethniques (*), ne revient pas à la Hongrie malgré l’aval de Berlin, parce que la Roumanie, elle aussi, avait exigé des compensations. Pour éviter une confrontation pour la maîtrise de cette région, celle-ci restera sous administration militaire allemande pendant la durée du conflit, une situation qui ne satisfaisait aucun des protagonistes.
Avec le soutien allemand, la Hongrie a pu récupéré, en deux ans et demi, un ensemble de territoires de 80.000 km2 en tout, avec cinq millions d’habitants dont plus de deux millions de Magyars, vivant, depuis l’application des clauses du Traité du Trianon, sous domination étrangère. Mais les tensions entre voisins demeurent : des tirs sporadiques éclatent le long de la frontière roumaine pendant l’été 1941. La Slovaquie, à son tour, demande des compensations territoriales ou le retour de certaines terres à la souveraineté slovaque. La Croatie veut récupérer l’île de Mur. Bratislava essaye même de raviver la « Petite Entente » mais Ribbentrop parvient à apaiser les partenaires de l’Allemagne et de l’Axe. Mais la joie d’avoir récupéré les territoires perdus à la suite du Diktat du Trianon ne durera guère. A la fin de l’année 1944, les armées soviétiques déferlent sur la Hongrie, alliée à l’Allemagne. Le traité de paix du 10 février 1947, signé à Paris dans le Palais du Luxembourg, les vainqueurs réimposent le statu quo d’avant la guerre. Pire : la Hongrie doit céder trois villages supplémentaires à la république tchécoslovaque de Benes.
Erich KÖRNER-LAKATOS.
(article paru dans « zur Zeit », Vienne, n°24/2010 ; http://www.zurzeit.at/ ).
Note :
(*) Ainsi que des Lorrains et des Luxembourgeois thiois et wallons, installés là-bas à la suite des invasions françaises du 17ème siècle qui ont saccagé et ruiné la Lorraine et la Franche-Comté, « génocidant » littéralement ces provinces et forçant, comme dans le Palatinat rhénan, les populations à fuir. Dans certaines zones, ce sont les deux tiers de la population qui est purement et simplement massacrée ou qui doit fuir. On trouvera des Lorrains dans la région de Rome, où ils ont été invités à assécher les fameux marais pontins et y ont péri de malaria et de typhus. Les Franc-Comtois, dont les villages et les fermes ont été incendiés par la soldatesque française et par les mercenaires suédois au service du Roi-Soleil, se retrouveront en Suisse et surtout au Val d’Aoste. La romanité impériale a subi de terribles sévices que l’historiographie française officielle a gommé des mémoires. Une historiographie, aujourd’hui « républicaine », qui donne des leçons à autrui mais dissimule des pratiques génocidaires inavouées et particulièrement écœurantes.
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vendredi, 09 juillet 2010
Presseschau - Juli 2010 /01

Presseschau
Juli 2010 /01
Einige Links. Bei Interesse anklicken...
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Das Ergebnis der Rassenevolution ist die Untergliederung der Spezies in verschiedene Rassen. Rassen werden definiert als „Bevölkerungskomplexe, die sich in der Häufigkeit erblicher Merkmale von anderen Bevölkerungen unterscheiden“ (Schwidetzky 1982). Dies ist die heute gültige populationsgenetische Rassendefinition. Sie unterscheidet sich von der älteren typologischen dadurch, daß sie sich auf Bevölkerungen bezieht. Die typologische Definition faßte Rassen als Gruppen von Individuen auf, die gemeinsame Merkmale aufweisen. Da auch in rassisch einheitlichen Bevölkerungen nur eine Minderheit von Individuen gleichzeitig alle rassenkennzeichnenden Merkmale auf sich vereint, entspricht die populationsgenetische Definition besser der realen Merkmalsvariabilität. Allerdings ist die populationsgenetische, von den serologischen Polymorphismen abgeleitete Auffassung, daß Merkmale unabhängig voneinander variieren, letztlich eine genauso unzulässige Vereinfachung wie die Vorstellung homogener Typen. Tatsächlich gibt es vielfach historisch (in der Regel nicht genetisch) bedingte Korrelationen zwischen den Merkmalen. Typenvorstellungen sind durch Abstraktion aus der Merkmalsverteilung von realen Populationen gewonnen worden.
Der naturwissenschaftliche Typusbegriff schließt Variation und Dynamik nicht aus, sondern hat sie als Voraussetzung. Daher besteht auch kein grundsätzlicher Gegensatz zwischen Typus und Population; vielmehr liegt beiden Konzepten dieselbe biologische Wirklichkeit zugrunde, die weder mit „Typus“ noch mit „Population“ in all ihren Aspekten beschrieben werden kann. In diesem empirischen Sinn als Komplex geographisch und individuell korrelierender Merkmale ist es gemeint, wenn heute in der Anthropologie von Typen gesprochen wird.
Darüber, wie groß Bevölkerungsunterschiede sein müssen, damit beim Menschen von Rassen gesprochen werden kann, gibt es keine gültige Übereinkunft. So werden z.B. Europide und Mongolide je nachdem als Rassen oder als Großrassen oder als Rassenkreise bezeichnet, die wiederum in verschiedene Rassen oder Unterrassen unterteilt werden. In diesem Buch bezeichne ich die menschlichen Großgruppen der Europiden, Mongoliden und Negriden als Rassen und die Varianten unterhalb dieses taxonomischen Niveaus als Typen bzw. Subtypen (wenn die taxonomische Stellung unterhalb der Rassenebene betont werden soll) oder Populationen.
In jüngerer Zeit wird vielfach bestritten, daß es beim Menschen überhaupt Rassen gibt. Die Kritiker des Rassenbegriffs beziehen sich auf seit langem veraltete Rassendefinitionen, die eine wirkliche genetische Einheitlichkeit der Rassen annahmen, z.B. jene von Eugen Fischer, der um 1930 Rassen als genetisch einheitliche Gruppen ansah. Die populationsgenetische Rassendefinition setzt eine solche Einheitlichkeit nicht voraus, nur signifikante Häufigkeitsunterschiede. Tatsächlich beinhaltete aber auch der typologische Rassenbegriff keine „homogenen“ und „klar abgrenzbaren“ Einheiten, wie Gegner des Rassenbegriffs immer wieder zu Unrecht unterstellen. Selbst der Altmeister der Rassentypologie Egon von Eickstedt (1892–1965) definierte Rassen als „Individuengruppen mit Merkmalshäufungen, die in geographischer und individueller Hinsicht variieren und fluktuierende Übergänge zeigen“.
(...)
(Andreas Vonderach: Anthropologie Europas. Völker, Typen und Gene vom Neandertaler bis zur Gegenwart, Graz 2008, S. 22 f.)
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Das gefährliche Großmachtstreben der Türkei
Ankara schwelgt in großtürkischen Phantasien, träumt von einem neuen Osmanischen Reich. Eine Bedrohung sowohl für Europa als auch die arabischen Länder.
http://www.welt.de/debatte/kommentare/article8196827/Das-gefaehrliche-Grossmachtstreben-der-Tuerkei.html
Europäische Union wirbt um die Türkei
BRÜSSEL. Die Europäische Union (EU) hat mit der Türkei neue Verhandlungen über einen Beitritt des Landes aufgenommen. Beobachter werten dies vor allem als politisches Signal gegenüber Ankara, sich wieder mehr an die Gemeinschaft anzunähern.
In jüngster Zeit hatte die Türkei die EU immer wieder mit politischen Maßnahmen brüskiert, die als Zeichen der Entfremdung gewertet wurden. Beispielsweise hatte Ankara Anfang des Jahres die Visumspflicht für mehrere Länder des Nahen Ostens aufgehoben.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5c5b23984b4.0.html
„Wir sind nicht Luxemburg“
Die Wehrpflicht ist für die Erhaltung der Fähigkeit zur Landesverteidigung unverzichtbar. Der frühere Verteidigungsminister Rudolf Scharping hat im Gespräch mit dem „Spiegel“ auf etwas Wesentliches hingewiesen ...
Ex-Verteidigungsminister Scharping: Berufsarmee verfassungsrechtlich problematisch
Der frühere Verteidigungsminister Rudolf Scharping hat sich vehement gegen eine Abschaffung der Wehrpflicht ausgesprochen, so der „Spiegel“ (...) und auf Probleme mit dem Grundgesetz hingewiesen. „Wer der Bundeswehr die Möglichkeit nimmt, im Ernstfall Reservisten einberufen zu können, raubt ihr die Fähigkeit zur Landesverteidigung, also die verfassungspolitische Grundlage“, sagte der SPD-Politiker dem „Spiegel“. Nach dem Grundgesetz stelle der Bund Streitkräfte zur Landesverteidigung auf. „Auch wenn heute niemand mit einem Angriff gegen Deutschland rechnet, ändert das nichts an der verfassungspolitischen Grundlage“, so Scharping weiter.
http://www.xtranews.de/2010/06/20/ex-verteidigungsminister-scharping-berufsarmee-verfassungsrechtlich-problematisch/
Soldaten in Deutschland
US-Armee zieht aus Heidelberg und Mannheim ab
(und zieht dafür nach Wiesbaden)
http://www.abendblatt.de/politik/article1543273/US-Armee-zieht-aus-Heidelberg-und-Mannheim-ab.html
Geheimagenten in den USA
FBI zerschlägt russischen Spionagering
Der Fall wirkt wie ein Thriller aus dem Kalten Krieg: Jahrzehntelang sollen zehn Männer und Frauen in russischem Auftrag amerikanische Politiker mit modernster Technik ausspioniert haben. US-Ermittler waren den mutmaßlichen Agenten auf der Spur – jetzt schlugen sie zu.
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,703433,00.html
Bundesversammlung
[Türken-]Wulff wird im dritten Wahlgang Präsident
Schwarz-Gelb ist knapp an der Katastrophe vorbeigeschrammt: Im dritten Wahlgang wurde Christian Wulff zum neuen Bundespräsidenten gewählt, sogar mit absoluter Mehrheit. Doch an dem Wahlkrimi wird die Koalition noch lange zu leiden haben – es könnte der Anfang vom Ende für Merkels Regierung sein.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,703926,00.html
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M574b343a70e.0.html
„Die Entmachtung der Bürger stoppen“
Einen „Fall illegitimer Machtausübung“ nennt der Parteienkritiker Hans Herbert von Arnim die Wahl des Bundespräsidenten vom Mittwoch.
Der renommierte Verfassungsrechtler und Publizist kritisiert im Interview mit der JUNGEN FREIHEIT (Ausgabe 27/10), daß die Vorsitzenden der Regierungsparteien versucht hätten, ihren Wahlmännern die Besetzung des Amts mit Christian Wulff (CDU) vorzugeben und so die rechtlich garantierte freie Wahl zu nehmen.
Der Gegenkandidat Joachim Gauck wäre zudem von SPD und Grünen nicht aufgestellt worden, weil sie ihn wirklich als Präsidenten wünschten, sondern nur, um die Regierung öffentlich vorzuführen, erläutert von Arnim.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5727f76738d.0.html
Regiert von Autisten
Von Michael Paulwitz
Angela Merkel kann aufatmen. Guido Westerwelle auch. Die Revolte ist überstanden, ihr Kandidat für Schloß Bellevue, der bisherige niedersächsische Ministerpräsident Christian Wulff, ist im dritten Anlauf zum Bundespräsidenten gewählt worden.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5b5d942e480.0.html
Ganz oben
Von Martin Lichtmesz
Immer, wenn wieder einmal Wahlen anstehen, und vor allem ausgehen, muß ich an die lustige Geschichte vom Frosch im heißen Wasser denken. Komisch, nicht? Auch sinkendes Niveau ist eine Frage der Akklimatisierung. Wen juckt’s also noch, wem fällt es noch auf? Wie lange liegen die Zeiten nun zurück, in denen man es für unfaßbar gehalten hätte, daß ein Lebewesen wie Christian Wulff einmal deutsches Staatsoberhaupt werden könnte?
http://www.sezession.de/16403/ganz-oben.html
Eine geistige Kreuzung aus Armin Laschet und Maria Böhmer ...
Christian Wulff macht Integration zum Leitthema
Der neue Bundespräsident hat seinen Amtseid abgelegt. In seiner Rede forderte er einen größeren Einsatz für Integration.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8275162/Christian-Wulff-macht-Integration-zum-Leitthema.html
http://www.welt.de/die-welt/politik/article8285814/Wulff-wuenscht-sich-bunte-Republik-Deutschland.html
Tag des Amtsantritts
Wulff will buntere Bundesrepublik
Erst die Vereidigung, später das Sommerfest: Christian Wulff ist Deutschlands neues Staatsoberhaupt. Seine ersten Stunden im Amt verliefen reibungslos, bis auf einen Versprecher. Jetzt will er das Land zum Integrations-Vorbild machen. Und die Bürger wieder für Politik begeistern.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,704335,00.html
Familie und Beruf
Karrierekiller Kind
Von Michael Kröger
In Umfragen geben sich Deutschlands Unternehmen familienfreundlich, preisen Betriebskitas und Teilzeitangebote an. Doch die Wirklichkeit sieht anders aus. SPIEGEL ONLINE dokumentiert die Erfahrungsberichte berufstätiger Frauen. Deren Fazit: Kindererziehung bedeutet oft das Ende der Karriere.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/0,1518,702870,00.html
Für die Freiheit ...
Supreme Court weitet Recht auf Waffenbesitz aus
Das Oberste Gericht der USA hat das in Städten wie Chicago geltende Waffenverbot für verfassungswidrig erklärt.
http://www.welt.de/politik/article8213864/Supreme-Court-weitet-Recht-auf-Waffenbesitz-aus.html
Waffenurteil in den USA: Auf Knopfdruck Vorurteile
von Jörg Janssen
US-Richter bestätigen Grundrecht auf Mittel zum Selbstschutz und der Deutsche Medien-Lamestream riecht Blut
[Lesenswerter Text. Problematisch ist allerdings die typisch libertäre Entgegensetzung von Individuum und Gesellschaft (eine regelrechte Gemeinschaftsphobie!). Als könnte es individuelle Freiheit ohne kollektive Freiheit geben ...]
http://ef-magazin.de/2010/07/01/2292-waffenurteil-in-den-usa-auf-knopfdruck-vorurteile
Waffenbesitz: Der Wilde Westen und die linke Journaille
von Andreas Tögel
USA vor dem „Kulturkrieg“?
http://ef-magazin.de/2010/06/30/2285-waffenbesitz-der-wilde-westen-und-die-linke-journaille
Versammlungsfreiheit gestärkt
Karlsruhe gibt Gegnern der Wehrmachtsausstellung recht
Mü. FRANKFURT, 10. Juni. Das Bundesverfassungsgericht hat einmal mehr das Grundrecht der Versammlungsfreiheit gestärkt. Wie schon mehrfach hob es eine Entscheidung des Oberverwaltungsgerichts Münster auf. Es hatte eine Auflage der Bielefelder Polizei für rechtmäßig erklärt, daß sich alle Teilnehmer einer Gegenveranstaltung zur Wehrmachtsausstellung vor deren Beginn durchsuchen lassen mußten. Die Versammlung 2002 stand unter dem Motto „Die Soldaten der Wehrmacht waren Helden, keine Verbrecher“. Die – später gerichtlich bestätigte – Anordnung zur Durchsuchung begründete die Polizei damit, daß es zu Auseinandersetzungen mit linken Gegendemonstranten kommen könnte. Die 1. Kammer des Ersten Senats des Verfassungsgerichts hob die verwaltungsgerichtlichen Entscheidungen auf: Sie verletzten den Beschwerdeführer in seiner Versammlungsfreiheit. Die Gerichte hätten keine hinreichenden Anhaltspunkte für eine von der Versammlung selbst ausgehende Gefahr für die öffentliche Sicherheit aufgezeigt. Daß Störungen durch gewaltbereite linke Gegendemonstranten zu befürchten waren, „hätte den zuständigen Behörden Anlaß sein müssen, zuvörderst gegen die angekündigten Gegendemonstrationen Maßnahmen zu ergreifen“. Dieses Gefahrenpotential sei der von dem Beschwerdeführer veranstalteten Versammlung nicht zurechenbar. (Aktenzeichen 1 BvR 2336/04)
F.A.Z., 11.06.2010, Nr. 132 / Seite 4
Udo Voigt ist der Neger der Bundesrepublik
Von Martin Lichtmesz
In der Juni-Ausgabe des „Merkur“ ist ein bemerkenswerter Aufsatz von Horst Meier mit dem Titel „Sonderrecht gegen Neonazis?“ erschienen. Mit der Verschärfung des § 130, durch die seit 2005 nicht allein „Holocaust-Leugner“ mit strafrechtlichen Konsequenzen zu rechnen haben, sondern auch wer „nationalsozialistische Gewalt- und Willkürherrschaft billigt, verherrlicht oder rechtfertigt“, habe eine schleichende „fatale Ideologisierung des Grundrechts“ eingesetzt, die „schwere Kollateralschäden für die Bürgerrechte“ und die Meinungsfreiheit mit sich brächte.
http://www.sezession.de/16226/udo-voigt-ist-der-neger-der-bundesrepublik.html
Kampf gegen Rechts
Stiefelverbot für Neonazis
Was können Städte gegen Neonazis tun? Eine Studie der Ebert-Stiftung listet gute Ideen aus Behörden und Firmen auf. Ein Richter zwingt Rechte etwa zu Auftritten in Socken.
[Man beachte auch die zahlreichen kritischen Kommentare!]
http://www.taz.de/1/politik/deutschland/artikel/1/stiefelverbot-fuer-neonazis/
Hitler-Rede: Polizei verhaftet Deutschen wegen Nazi-Klingelton
http://www.netzwelt.de/news/83234-hitler-rede-polizei-verhaftet-deutschen-wegen-nazi-klingelton.html
Beim Knacken der türkisen Nuß
Von Martin Lichtmesz
Nach der in Teilen recht brauchbaren Serie über „Extremismus“ ist man auf Endstation Rechts nun wieder dabei, das zu tun, was man dort am schlechtesten kann: nämlich die anspruchsvollere Feindliteratur, etwa die aus dem Hause Antaios, zu analysieren. Dabei beißt man sich Zähne regelmäßig schon am Verständnis der Grundlagen aus.
Mathias Brodkorbs Rezension des neuen Kaplaken-Bandes von Thorsten Hinz „Literatur aus der Schuldkolonie“ ist dabei besonders kläglich geraten, und dies nicht nur wegen des offenbar ausgesprochen amusisch veranlagten Rezensenten.
http://www.sezession.de/16282/beim-knacken-der-tuerkisen-nuss.html
Wer verharmlost hier eigentlich?
Von Fabian Schmidt-Ahmad
„Verharmlosung des Hitler-Faschismus“ – die stellvertretende Linkspartei-Chefin Katja Kipping hat den Bundespräsidentschaftskandidaten Joachim Gauck scharf angegriffen. Grund für diesen massiven Vorwurf ist dessen Totalitarismus-Antipathie, die angeblich nicht genügend differenziere.
„Herr Gauck vertritt in der Öffentlichkeit immer wieder eine Position, die auf eine Gleichstellung von Links und Rechts hinausläuft“, sagte Kipping in einem Gespräch mit der FAZ. Daher habe ihre Partei mit der ehemaligen Chefredakteurin des Hessischen Rundfunks, Lukrezia Jochimsen, eine eigene „wunderbare Kandidatin“ aufgestellt.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M59f4a504f6a.0.html
Dehms Hitlervergleich beweist Godwins Law
Offenbar kommt keine Debatte ohne Hitler-Vergleich aus. In der Diskussion um die Wahl von Christian Wulff griff die Linkspartei zur Geschichtskeule.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8264678/Dehms-Hitlervergleich-beweist-Godwins-Law.html
Dieter Dehm
Linke-Politiker nennt Wulff neuen Hitler
Handfeste Provokation bei der Bundespräsidenten-Wahl. Die Linke-Bundestagsabgeordnete Dieter Dehm verglich die Kandidaten Christian Wullf und Joachim Gauck mit Stalin und Hitler. Inzwischen entschuldigte sich der 60jährige.
http://www.berlinerumschau.com/index.php?set_language=de&cccpage=02072010ArtikelPolitik2
Bombenanschlag in Athen
Tödliches Päckchen
Im Ministerium für Bürgerschutz wird ein verdächtiges Paket entdeckt. Beim Öffnen kommt es zur Explosion, ein Polizist stirbt. Die Detonation ereignet sich nur wenige Meter entfernt vom Büro von Minister Chrysochoidis, der als erfolgreicher Terroristenjäger gilt.
http://www.sueddeutsche.de/politik/bombenanschlag-in-athen-toedliches-paeckchen-1.965189
Feminismus und Sprache
Das „Binnen-I“ – von Frauen gemeuchelt?
http://www.ruhrnachrichten.de/nachrichten/kultur/kulturwelt/art617,947108
Deutschlands Biennale-Pavillon
Mit der Faschismuskeule
Wo triftige Argumente fehlen, schlägt die Rhetorik blindlings zu: Der Präsident der Bundesarchitektenkammer hat die Schleifung des deutschen Pavillons in den venezianischen „Giardini“ gefordert, weil dessen nationalsozialistische Monumentalität nicht mit unserem heutigen Staatsverständnis zusammengehe.
Von Dieter Bartetzko
http://www.faz.net/s/Rub5A6DAB001EA2420BAC082C25414D2760/Doc~EC20DE318E52F493F8C3AC1E397FABC28~ATpl~Ecommon~Scontent.html
Konzeptkünstler Haacke gegen Abriß des deutschen Biennale-Pavillons in Venedig
http://www.dradio.de/dlf/sendungen/kulturheute/1211614/
Alan Posener muß mal wieder seinen Senf dazugeben. Jetzt will er NS-Architektur in die Luft sprengen ...
Was tun mit fantasielosen Nazi-Klötzen? Dynamit her!
http://www.welt.de/die-welt/kultur/article8179484/Was-tun-mit-fantasielosen-Nazi-Kloetzen-Dynamit-her.html
Die Nazi-Bauten sind besser als ihr Ruf
http://www.welt.de/channels-extern/ipad/kultur_ipad/article8172633/Die-Nazi-Bauten-sind-besser-als-ihr-Ruf.html
Band „Rotfront“ erhält Weltmusik-Preis
(„... Katalysator für Strömungen vieler urbaner Immigrantensounds ...“)
http://www.weltmusikpreis.de/2010/globale.html
Anfang des Monats waren sie in der ARTE Lounge – Konzert und Interview können hier abgerufen werden:
http://www.arte.tv/de/content/tv/02__Universes/U2__Echapp_C3_A9es__culturelles/02-Magazines/18_20ARTE_20Lounge/01_20Diesen_20Monat/edition-2010.05.27/04_20ARTE_20Lounge_2010_20-_2008.06.2010_20RotFront/3225130.html
„Rassismus“ – IQ-Tests sorgen für Empörung
Aufregung um IQ-Tests für Einwanderer: Der Vorschlag sei „menschenverachtend“, sagte der SPD-Linke Björn Böhning WELT ONLINE.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8207784/Rassismus-IQ-Tests-sorgen-fuer-Empoerung.html
Jugendliche Einwanderer verletzen Polizisten schwer
HAMBURG. Am späten Samstagabend sind in Hamburg mehrere Polizisten von einer Gruppe jugendlicher Einwanderer angegriffen und verletzt worden. Fünf Beamte mußten im Krankenhaus behandelt werden, einer von ihnen erlitt lebensgefährliche Kopfverletzungen.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5071e2b718b.0.html
„Unterschicht und Abschaum der Straße“
HAMBURG. Der brutale Übergriff auf Polizisten in Hamburg, bei dem einem Beamten schwerste Kopfverletzungen zugefügt worden waren, hat für Empörung unter Politikern und Standesvertretern gesorgt.
„Es ist unfaßbar, mit welcher Brutalität diese Straftäter, die nur noch als Unterschicht und Abschaum der Straße zu bezeichnen sind, gegen unsere Kollegen vorgegangen sind“, stellte der Landesvorsitzende der Deutschen Polizeigewerkschaft, Joachim Lenders, fest.
Die Gewerkschaft kritisierte, daß die Politiker nur „hilflos und desinteressiert hinter ihrer Polizei“ stünden. Den zuständigen Ressortverantwortlichen aus der CDU warf Lenders vor, sie ließen ihren „markigen Sprüchen“ keine Taten folgen. Mittlerweile sei die Union schon längst „angegrünt“.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M508722eabb3.0.html
Mahnwache für einen Deutschen
Von Götz Kubitschek
In Hamburg-Harburg ist am vergangenen Mittwoch der 22jährige Pascal E. von einem Türken erstochen worden. Gestern abend nun haben etwa 80 Angehörige und Freunde des Opfers eine Mahnwache abgehalten und kurzzeitig eine Bundesstraße blockiert. Auch auf Facebook gibt es eine wachsende Solidaristen-Gruppe. Ist es so, daß die Stimmung jetzt gefährlich wird, wie die Regionalzeitung Der Harburger vermutet?
http://www.sezession.de/16276/mahnwache-fuer-einen-deutschen.html#more-16276
Mahnwache
Straßenblockade für Pascal
Der 22jährige war in der vergangenen Woche an der Bremer Straße erstochen worden.
Eißendorf. Rund 80 Freunde, Verwandte und Bekannte von Pascal E. haben sich am Donnerstagabend zu einer friedlichen Mahnwache an der Bremer Straße versammelt. In gemeinsamer stiller Trauer gedachten sie des 22-Jährigen, der, wie berichtet, am Mittwoch nach einer tödlichen Messerattacke in Eißendorf ums Leben kam. Sie legten Blumen nieder, zündeten Kerzen an und gaben sich gegenseitig Trost.
Aber auch Protestschilder, etwa mit der Aufschrift „Unsere Toleranz ist erschöpft“, wurden aufgestellt. Nach Auskunft der Polizei dauerte die Mahnwache von 21.20 Uhr bis Mitternacht. Bevor die Beamten eintrafen, blockierten die Teilnehmer der Mahnwache kurzzeitig und spontan die B75, lösten dann aber ihre Sitzblockade sofort auf.
http://www.han-online.de/Harburg-Stadt/article50938/Strassenblockade-fuer-Pascal.html
Hamburg: Proteste für Pascal E. gehen weiter
Die Proteste für den ermordeten Hamburger Pascal E. gehen weiter. Die Polizei, die wie berichtet ihre ganze Stärke auf das Verhindern von Protestkundgebungen der Trauernden legt, hat Gott sei Dank auf Facebook nichts zu sagen, so daß sich dort eine schon 500 Mitglieder umfassende Gruppe mit dem Namen „Gegen Gewalt in Harburg“ zusammentun konnte.
http://www.pi-news.net/2010/06/hamburg-proteste-fuer-pascal-e-gehen-weiter
Mord im Migrantenmilieu ...
Teenager in London auf Pausenhof erstochen
In einer Sonderschule in London ist es zu einer tödlichen Messerstecherei gekommen. Die Jugendgewalt in England wird schlimmer.
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article8279863/Teenager-in-London-auf-Pausenhof-erstochen.html
Urteil wegen Scheinehe
Hamburger SPD fordert Nachwuchspolitiker zum Austritt auf
Die politische Karriere des Hamburger SPD-Mannes Bülent Ciftlik ist beendet. Landesparteichef Scholz forderte ihn auf, aus Partei und Fraktion auszutreten. Am Tag zuvor hatte ein Hamburger Amtsgericht Ciftlik wegen Vermittlung einer Scheinehe verurteilt.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,703644,00.html
Der Verdacht liegt nahe, daß es sich bei den Tätern nicht um Europäer handelt ...
Frankreich
Autofahrer nach Auffahrunfall zu Tode geprügelt
Tödliches Ende einer Bagatelle: Wegen ein paar Kratzern am Auto ist ein junger Mann in Paris von mehreren Männern erschlagen worden.
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article8236892/Autofahrer-nach-Auffahrunfall-zu-Tode-gepruegelt.html
Die Schuldstolzen in Aktion ...
Projekt „18 Stiche“
Dresden gedenkt der ermordeten Marwa El-Sherbini
Vor einem Jahr wurde die Ägypterin Marwa El-Sherbini ermordet. Dresden gedachte heute der Toten. Dem Zentralrat der Muslime reicht das nicht.
http://www.welt.de/politik/deutschland/article8266466/Dresden-gedenkt-der-ermordeten-Marwa-El-Sherbini.html
Jahrestag
Dresden erinnert an Marwa El-Sherbini
http://www2.mdr.de/sachsen/7454241.html
Trauer in der Ferne: Gedenkfeier für Marwa - ohne ihren Ehemann
http://german.irib.ir/analysen/beitraege/item/112503-trauer-in-der-ferne-gedenkfeier-f%C3%BCr-marwa-ohne-ihren-ehemann
Dietzenbach
Kreistagsfraktionen erwarten Aufenthaltsduldung aus humanitären Gründen
Politik unterstützt Khateebs
Dietzenbach (fel) – Nachdem die vom Verein „Zusammenleben der Kulturen“ eingereichte Petition auf ein Bleiberecht der in Dietzenbach lebenden Familie Khateeb gescheitert ist, setzt sich die Politik für ein dauerhaftes Bleiberecht der achtköpfigen palästinensischen Familie aus humanitären Gründen ein.
http://www.op-online.de/nachrichten/dietzenbach/khateebs-politik-unterstuetzt-814333.html
Jugendrichterin Kirsten Heisig tot aufgefunden
BERLIN. Die Berliner Jugendrichterin Kirsten Heisig ist tot. Nach Informationen der Nachrichtenagentur dpa handelt es sich bei einer am Sonnabend in einem Wald im Norden Berlins gefundenen Frauenleiche um die seit Montag vermißte Juristin.
http://www.jungefreiheit.de/Single-News-Display-mit-Komm.154+M5c1a0941dd8.0.html
Berliner Richterin Kirsten Heisig tot aufgefunden
Die vermißte Jugendrichterin aus Berlin lebt nicht mehr: Die Polizei hat die Leiche von Kirsten Heisig bei der Suche im Tegeler Forst entdeckt.
Die für ihren konsequenten Umgang mit Straftätern bekannte Berliner Jugendrichterin Kirsten Heisig hat sich vermutlich das Leben genommen. Am Samstag wurde nach tagelanger Suche eine Frauenleiche in einem Waldstück in Berlin gefunden. Polizei und Staatsanwaltschaft gehen davon aus, daß kein Fremdverschulden vorliegt. Die Berliner Justizsenatorin Gisela von der Aue (SPD) sprach von einem möglichen Suizid. Die genaue Todesursache sollte frühestens am späten Abend nach der Obduktion feststehen. Heisig hatten offenbar Erfolg und Popularität zu schaffen gemacht.
http://www.welt.de/vermischtes/weltgeschehen/article8292091/Berliner-Richterin-Kirsten-Heisig-tot-aufgefunden.html
Die unendliche Belanglosigkeit moderner Architektur
Am „Tag der Architektur“ zeigt die deutsche Baukunst mit etlichen Beispielen ihre Schablonenhaftigkeit
http://www.welt.de/die-welt/kultur/article8187934/Die-unendliche-Belanglosigkeit-moderner-Architektur.html
Wider das heutige Bauen
Und wir nennen diesen Schrott auch noch schön
Gerade hat Deutschland den „Tag der Architektur“ gefeiert. Wieder wurde das Recht unserer Zeit auf eigenen, unverwechselbaren Ausdruck beschworen. Doch was ist all das in Beton gegossene Millimeterpapier unserer bauwütigen Epoche gegen die Schönheit der verschwindenden europäischen Stadt?
Von Martin Mosebach
http://www.faz.net/s/RubEBED639C476B407798B1CE808F1F6632/Doc~E77FA358233D54F8DB2ABF33ACCF7835A~ATpl~Ecommon~Scontent.html
Tagungsbericht Theologische Fakultät Paderborn
Das Ganze der Wirklichkeit im Blick
Wissenschaftliche Tagung der Josef-Pieper-Arbeitsstelle zum Werk von Josef Pieper und C.S. Lewis
http://www.i-basis.de/dp/ansicht/kunden/erzbistum-gemeinden/theol-fakultaet-pb/theol-fakultaet-pb/index.phtml?ber_id=2748&inh_id=32589
Älteste Breisgau-Siedlung
Archäologen graben Steinzeitdorf am Kaiserstuhl aus
Grüße von den Vorfahren: Im Breisgau haben Archäologen die Grundrisse eines 7500 Jahre alten Dorfs freigelegt. Es soll von den ersten Bauern in der Region stammen. Ausgegrabene Utensilien erlauben Rückschlüsse auf ihre Lebensgewohnheiten.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,703563,00.html
Massengrab-Fund
Römer sollen Babys von Prostituierten getötet haben
Archäologen haben in England ein Massengrab mit den Überresten von 97 Neugeborenen gefunden. Die Säuglingsleichen lagen in der Nähe eines antiken Bordells. Jetzt hegen die Forscher einen grausigen Verdacht: Die Babys waren die Kinder von Prostituierten – und wurden systematisch ermordet.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,703215,00.html
Der Tibeter hat die besseren Gene
Forscher entschlüsseln, warum die Bevölkerung nicht höhenkrank wird
von Ulli Kulke
Was hat der Tibeter, das dem Flachland-Chinesen fehlt? Die Frage stellt sich, seit die Regierung in Peking bemüht ist, durch Umsiedlungen von Menschen aus dem ganzen Land in die Himalaja-Provinz die dortigen Unabhängigkeitsbestrebungen zu unterlaufen und den Tibetern auch genetisch ihre Eigenständigkeit zu nehmen. Han-Chinesen bekommen dort oben, in ihrem neuen Wohnort auf rund 4000 Metern Höhe, regelmäßig die Höhenkrankheit. Worüber die Tibeter, dagegen offenbar gefeit, nur lachen können. Genforscher in Peking kamen nun dem Grund für diesen Unterschied auf die Spur.
http://www.welt.de/die-welt/politik/article8285809/Der-Tibeter-hat-die-besseren-Gene.html
Blitz-Evolution
Tibeter stellten ihr Erbgut in Rekordzeit auf Höhenluft ein
Evolution im Schnelldurchgang: Die tibetische Bevölkerung paßte ihr Erbgut in weniger als 3000 Jahren an das Leben in extremer Höhe an. Die Himalaja-Bewohner haben eine einzigartige Strategie entwickelt – sie reagierten auf paradoxe Weise auf den Sauerstoffmangel.
http://www.spiegel.de/wissenschaft/mensch/0,1518,704241,00.html
Eine sehr gute Übersicht ...
Rassentypen Europas – Versuch einer Unterteilung
http://forum.thiazi.net/showthread.php?t=105047
Die drei menschlichen (Groß-)Rassen der Europiden, Mongoliden und Negriden sowie als Vertreter der Altschichtrassen die besonders urtümlichen Australiden im Vergleich:
Europider Schädel
http://www.skullsunlimited.com/record_variant.php?id=3578
Mongolider Schädel
http://www.skullsunlimited.com/record_variant.php?id=3567
Negrider Schädel
http://www.skullsunlimited.com/record_variant.php?id=3563
Australider Schädel
http://www.skullsunlimited.com/record_variant.php?id=3577
---
Hinweis auf eine aktuelle Buchveröffentlichung:
Tomislav Sunic: La Croatie: un pays par défaut?
(éd. Avatar, 2010), p. 256, 26 Euro
http://www.avatareditions.com/224/la-croatie%C2%A0-un-pays-par-defaut%C2%A0
http://www.avatareditions.com/240/sunic-tomislav-tom
Sunics neues Buch auf französisch:
In seinem neuesten Buch, La Croatie: un pays par défaut? (Kroatien: ein zufälliger Staat?), das Tomislav Sunic in französischer Sprache verfaßt hat, wird das Phänomen der „Plötzlichkeit“ und des „Zufalles“ bezüglich des Begriffes des Politischen bei den Völkern mit schwachen Staatsgefügen abgehandelt. Auf der Grundlage von vielen Zitaten deutscher, französischer, kroatischer und amerikanischer Autoren befaßt sich Sunic besonders mit dem Beispiel Kroatiens, ehe er seine Analysen mit der Beschreibung der „falschen Identitäten“ erweitert, die das Fundament des europäischen Nationalismus bilden.
Dieses wichtige Buch behandelt auch „Ersatzidentitäten“ oder Identitäten „aus zweiter Hand“. Die kommunistischen Opferlehren, begleitet von modernen Hagiographien, die von der westlichen Linken und hyperrealen Medien vermittelt wurden, waren auch Faktoren die zu der Zuspitzung des Konfliktes im ehemaligen Jugoslawien geführt hatten – und die wahrscheinlich morgen in der Europäischen Union auftauchen können.
Dem Leser werden außerdem im diesem Buche die semantischen Verschiebungen vorgeführt bezüglich der modischen Begriffe wie „Faschismus“, „Anti-Faschismus“, „Rassismus“ etc. sowie die dunkle Seite der Postmoderne, die von den Osteuropäern nachgeahmt wird.
Vorwort von Jure (Georges) Vujic
Dr. Tomislav (Tom) Sunic (http://www.tomsunic.info) ist kroatisch-amerikanischer Schriftsteller, Übersetzer, ehemaliger Professor der Politikwissenschaft in den USA, und ehemaliger kroatischer Diplomat. Er ist Autor von Titoism and Dissidence (1991), Against Democracy and Equality: The European New Right (1991, 2002) und Homo americanus: Child of the Postmodern Age (2007). Er lebt zur Zeit in Kroatien.
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Chypre: Christofias accuse la Turquie

Andrea PERRONE:
Chypre: Christofias accuse la Turquie
Le président grec-chypriote Dimitris Christofias accuse la Turquie d’utiliser deux poids deux mesures en politique extérieure.
Lors d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement tenu à Bruxelles, Christofias a rappelé les réactions d’Ankara à la suite du raid israélien contre la flottille pacifiste, en précisant que la politique extérieure de la Turquie n’est pas honnête parce que dans le cas de Chypre, elle devrait adopter la même attitude que face à l’occupation des territoires palestiniens par Israël. L’île du bassin oriental de la Méditerranée demeure divisée en deux parties et les rapports bilatéraux entre Ankara et Nicosie restent tendus et difficiles. Cette crise dure maintenant depuis quarante ans, depuis qu’en 1974, l’armée turque a envahi Chypre, suite à un coup d’Etat pro-grec, et a installé une armée de 35.000 militaires dans le nord de l’île. En 1983, la Turquie a patronné la naissance d’une « République Turque de Chypre du Nord » (RTCN), entièrement tributaire d’Ankara sur les plans militaire et économique.
La séparation de l’île et l’obstination de la Turquie, qui refuse l’ouverture des ports et des aéroports aux Chypriotes grecs, constituent des obstacles majeurs à l’adhésion de la Turquie à l’UE.
A la suite des élections de février 2008 et de la formation d’un nouveau gouvernement de la République de Chypre, les premières ouvertures ont eu lieu entre les deux communautés qui ont toutes deux consenti à s’envoyer mutuellement des négociateurs le 3 septembre 2008, afin de régler une éventuelle réunification de l’île divisée, l’ensemble de ces approches étant placé sous les auspices des Nations Unies. Les pourparlers ont enregistré quelques progrès substantiels et leur objectif est d’arriver à la création d’une « Confédération bi-zonale et bi-communautaire ». Quelques mois auparavant, le 21 mars 2008, Christofias, le Président nouvellement élu des Chypriotes grecs avait rencontré celui qui était à l’époque son homologue turc-chypriote, Mehmet Ali Talat ; c’était lors des premières rencontres visant la réunification de l’île, quand les protagonistes grecs et turcs de Chypre avaient décidé d’ouvrir à nouveau à la circulation automobile le passage de la « Ledra Street » à Nicosie, jusqu’alors réservé aux seuls piétons. Mais l’élection en avril 2010 du nationaliste turc Dervis Eroglu à la présidence des Chypriotes turcs risque fort bien de mettre un terme aux négociations.
De son côté, Christofias a précisé que les premières rencontres avec Eroglu ont eu pour thème central les controverses sur les questions patrimoniales plutôt que sur la question plus importante de la réunification.
Le Président des Chypriotes grecs a accepté qu’en échange de la restitution des propriétés abandonnées par les Chypriotes grecs lors de l’invasion turque de 1974 et situées dans le nord occupé de l’île, il serait prêt à offrir la nationalité chypriote pleine et entière à 50.000 « colons » turcs, en général des couples mixtes turcs-chypriote/turcs-anatoliens avec enfants. Toutefois, cette proposition a déjà été rejetée par la partie turque. « C’est bien étrange », a déclaré Christofias, « d’entendre de la bouche même du président, du premier ministre et du ministre des affaires étrangères turcs dire qu’ils veulent trouver une solution au conflit chypriote pour la fin de l’année. Nous savons qu’ils ne veulent pas car s’ils le voulaient, ils auraient abandonner leurs positions intransigeantes et se seraient efforcer de trouver une solution ».
Andrea PERRONE.
(article paru dans « Rinascita », Rome, 23 juin 2010 ; http://www.rinascita.eu/ ).
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jeudi, 08 juillet 2010
Pour Vaclav Klaus, le projet européen a échoué...

Pour Vaclav Klaus, le projet européen a échoué...
Le Président tchèque Vaclav Klaus a demandé aux pays d’Europe centrale et orientale de se méfier de toute adhésion à la zone euro. “L’Union monétaire européenne a échoué”, a écrit l’homme politique tchèque, que l’on classera comme un “libéral de droite”; il vient de s’exprimer dans les colonnes de la revue économique allemande “Wirtschaftswoche”. La zone euro, a-t-il ajouté, n’est pas un “espace monétaire optimal” car sa constitution procède en première instance d’une décision politique. Raison pour laquelle le projet de l’euro sera poursuivi en dépit de ses déboires économiques. “On a tant investi de capital politique dans la monnaie commune, destinée à devenir l’élément cimentant d’une Union Européenne orientée vers les idées de supranationalité, que l’on n’y renoncera pas, du moins, me semble-t-il, dans un avenir prévisible”, prognostiquait Klaus. Le prix à payer pour cet entêtement, selon l’homme politique tchèque, est le suivant: “Moins de croissance économique et davantage de transferts financiers pour les pays qui font face à de plus grands problèmes économiques et financiers”. De ce fait, Klaus estime que “nous, les Thcèques, n’avons pas commis l’erreur d’avoir adhéré à la zone euro”.
(source: “Junge Freiheit”, Berlin, n°26/2010).
COMMENTAIRES :
- Il est vrai que l’euro connaît des problèmes, mais ces problèmes ne sont pas dus aux mauvaises analyses posées par ses créateurs européens dès le départ. Ces problèmes récents découlent de spéculations contre certains pays plus faibles de la zone euro et de l’aire méditerranéenne, des spéculations qui émanent de milieux financiers d’Outre-Atlantique.
- L’origine américaine de cette spéculation fragilisante doit appeler à une vigilance paneuropéenne contre les milieux financiers. La réponse doit donc être politique et judiciaire, avec, pour objectif, 1) de sanctionner avec la plus extrême sévérité le crime de spéculation et d’envisager une répression féroce dans les milieux bancaires, lie des sociétés dites “modernes” et 2) de maintenir au moins le statu quo, c’est-à-dire de maintenir le pouvoir d’achat des masses et la protection sociale qu’on leur a promise.
- La faiblesse de l’euro, et partant de l’Union Européenne, vient d’une incapacité à désigner l’ennemi américain, à médiatiser et vulgariser ce fait d’inimitié dans les masses, et de croire à la bonne foi des dirigeants de Washington. L’Europe ne sera pas politique tant qu’elle ne désignera pas l’ennemi (car il est impossible de faire de la politique de manière profonde et sérieuse si on ne le désigne pas), tant que ses médias ne le fustigeront pas de manière inlassable et tant que son personnel politique marinera dans la naïveté, qui consiste à croire que les Américains sont l’incarnation du “Bien”, les adjudants du Tout-Puissant sur la Terre et les “libérateurs” de l’Europe.
- Cet ensemble de spéculations contre la zone euro, notamment en Grèce, survient au moment où les Etats du groupe BRIC (Brésil, Russie, Iran, Chine) ou du Concert de Shanghaï ont émis l’hypothèse de facturer leurs hydrocarbures ou matières premières en euro, afin de mettre un terme à l’hégémonie du dollar et à faire du monde une multipolarité de pôles économiques et politiques pour ne plus subir les diktats énoncés au sein de l’actuelle unipolarité. Il faut y penser. Et il faut le dire, le clamer sur toutes les ondes.
- Les lamentations de Vaclav Klaus participent de la désinformation, visent à ébranler la confiance des masses dans l’euro et dans la construction européenne. On sait aussi que le gouvernement tchèque est philo-atlantiste dans sa politique internationale, alors que chaque pays européen devrait envisager de se dégager de la cangue atlantiste pour construire à terme un système de défense euro-centré voire eurasien (dont les frontières se situeraient en Méditerranée, sur le littoral Arctique de l’Islande au Détroit de Bering et sur les côtes de l’Océan Indien). Dans les faits, Vaclav Klaus tente de créer une sorte de zone-tampon, un ventre mou ou une masse de manoeuvre gélatineuse et empêtrante, entre les vieux pays fondateurs du “Marché Commun” en 1957 et l’espace russo-eurasien, afin de freiner toute fusion eurasienne, démarche qui condamnera toute l’Europe au marasme sur le long terme. Cette zone-tampon est déclarée “Nouvelle Europe” et parée de toutes les vertus (libérales): dans les faits, elle est tributaire de l’hyperpuissance, fragmentée en petites puissances incapables d’assumer une véritable indépendance et les voix que ces petites puissances pourraient émettre dans les instances décisionnaires ou dans les hémicycles parlementaires européens empêchent l’éclosion d’un consensus paneuropéen et d’une véritable volonté d’union.
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mercredi, 07 juillet 2010
Le nationalisme des "Loups Gris"
Pietro FIOCCHI:
Le nationalisme des “Loups Gris”
Rapport d’un entretien avec Ihsan Barutçu, chef du MHP d’Istanbul
Quand on les voit de près, les “Loups” ne font pas peur. Le MHP (Milliyetçi Hareket Partisi), soit le “Parti du Mouvement National”, lors des législatives de 2007, avait obtenu 14% des voix et 71 sièges au parlement unicaméral turc, qui en compremd un total de 550. Nous avons donc affaire au troisième parti du pays, après l’AKP philo-islamiste, actuellement aux affaires, et le CHP social-démocrate, une organisation politique née plus ou moins en même temps que la république, au début des années 20.
Créé à la fin des années 60 par Alparslan Türkes, le MHP a suscité un intérêt croissant auprès des électeurs turcs depuis ces dernières décennies, à l’exception d’une brève stagnation en 2002. Le sommet fut atteint en 1999 avec son actuel leader Devlet Bahçeli, avec 18% des voix et 129 sièges. Ce parti ne relève donc pas du folklore mais constitue une réalité politique et sociale qui n’a rien de marginal comme on pourrait le croire. Malheureusement, son site officiel (www.mhp.org.tr) ne présente aucun texte en une autre langue que le turc. Ceux qui veulent glaner plus d’information sur ce mouvement doivent se rabattre sur Wikipedia ou sur des blogs qui, généralement, donnent de ce parti une description apocalyptique.
Nous, journalistes italiens du quotidien “Rinascita” (Rome), sommes toujours d’emblée sceptiques face aux étiquettes de tous genres et allergiques aux lieux communs; par conséquent, nous sommes allés trouver les hommes du MHP, qui furent, de leur côté, bien contents de susciter l’intérêt d’une fraction de la presse italienne. Nous avons été reçus avec tous les honneurs au bureau d’Istanbul pour avoir un long entretien avec le leader local, Ihsan Barutçu.
Nous n’avons attendu que quelques minutes dans l’antichambre: laps de temps pendant lequel, un fonctionnaire du parti a tenu à faire une précision. Cet homme était évidemment conscient du manque d’informations dont nous disposions sur son parti: il a tenu dès lors à souligner que les Européens avaient l’habitude de faire l’équation entre le nationalisme et le racisme. Il nous a alors donné deux exemples de leaders, que nous apprécions aussi: Hugo Chavez et Evo Morales, chez qui l’idée nationaliste n’a rien à voir avec le racisme mais s’exprime sous la forme d’un socialisme national qui, ajoutons-nous, a eu des effets bénéfiques sur leurs pays, le Venezuela et la Bolivie. Après cette précision, il nous a assuré que son parti n’avait pas de base ethnique mais était ouvert à tous les citoyens de Turquie, Kurdes compris.
Dès que nous nous sommes trouvés face à face avec Ihsan Barutçu, en présence de ses collaborateurs Aydin Çetiner et Mert Toker, qui jouait le rôle d’interprète, notre première question fut spontanée: “Qu’est-ce que le MHP?”. La réponse fut concise: “Notre parti représente la tradition et l’avenir du pays”.
Justement, à props d’avenir, nous étions forcément intéressés de savoir comment ils voyaient le futur de la Turquie dans la perspective d’une adhésion à l’UE. Les membres du MHP sont convaincus que Bruxelles applique, à l’endroit d’Ankara, une politique de deux poids deux mesures, qui est somme toute une attitude dépourvue de clarté. Quant aux militants du MHP, ils demeurent intéressés à entrer dans l’Europe: l’adhésion est un pas qu’ils sont prêts à franchir mais uniquement s’ils peuvent conserver intactes leurs propres traditions, leur culture, leur unité et leur indépendance... Ce qui signifie, ajoutons-nous, adhérer à l’UE sans que Bruxelles ne leur impose trop de conditions? Exactement, nous répondent-ils. Même si l’adhésion est un objectif convoité par les Turcs, les “Loups gris” admettent qu’ils restent perplexes devant l’UE et émettent des doutes sur le mode d’économie qu’elle pratique: ils nous donnent les exemples emblématiques de la Grèce et du Portugal. L’assemblée européenne a toutes les allures d’un club de nations chrétiennes, alors que les Turcs sont musulmans et tiennent à le souligner, ce qui implique bien entendu qu’ils ont des traditions et des valeurs propres.
Dans ce cas, cherchons-nous à comprendre, pourquoi cette UE apparait-elle si importante aux yeux des Turcs? Ne vaudrait-il pas mieux qu’ils concentrent leurs efforts pour adhérer à une éventuelle union des pays turcophones? De fait, beaucoup, entre l’Anatolie et l’Asie centrale, ont entendu parler de cette hypothèse. La Turquie, nous disent nos interlocuteurs du MHP, est située entre l’Orient et l’Occident: elle doit donc regarder dans les deux directions.
Nous confrontons alors nos interlocuteurs du MHP au parcours d’obstacles qui les sépare du but, à commencer par deux cas difficiles: 1) la reconnaissance de ce que nous appelons en Europe le génocide arménien et 2) la question de Chypre et de la République turque du nord de l’île, que les Européens considèrent comme une zone occupée militairement et non pas comme une entité étatique normale. A la première question, nos interlocuteurs nous répondent comme le font généralement tous les Turcs, sans distinction d’obédience politique: “nous ne sommes pas responsables des événements survenus au cours de la première guerre mondiale et, dans tous les cas de figure, il n’y a pas eu de génocide”.
Que nous proposent-ils dès lors pour nous faire accepter leurs arguments? Ils nous expliquent qu’en Turquie vivent de nombreux Arméniens, dont beaucoup d’étudiants, et certains d’entre eux sont même candidats aux élections sur les listes du MHP. Ces Arméniens-là rejettent la théorie du génocide. Quoi qu’il en soit, il faut, disent-ils, qu’une commission d’historiens fasse les recherches adéquates et trouvent une solution. Ce n’est pas une tâche qui doit être dévolue aux membres du parlement. Pour le MHP, la question arménienne relève de mobiles politiques et ne se base pas sur des faits historiques.
Sur Chypre également, la position du parti est celle que partage en général la plupart des Turcs: dans l’île vivent deux sociétés différentes, l’une est turque et l’autre est grecque; les uns comme les autres ont des droits égaux. L’UE ne peut affirmer que Chypre appartient aux seuls Grecs. Le MHP attend des Européens une politiques plus objective. Ils considèrent que l’intervention militaire turque de 1974 relève d’une mission légitime de pacification.
Et le nucléaire iranien? Qu’en dit le MHP? La réponse est simple: si Téhéran a des visées belliqueuses, le parti s’oppose au nucléaire iranien car il est par définition hostile aux armes atomiques. Il suffit de se rappeler les tragédies d’Hiroshima et de Nagasaki. Si, en revanche, les Iraniens souhaitent utiliser l’atome à des fins civiles, le MHP ne formule aucune critique. Tous les pays ont le droit de développer l’énergie nucléaire comme ils l’entendent.
Pour terminer l’entretien, nous demandons quelques explications sur ce qu’entendent les militants du MHP par “pantouranisme”. Nos interlocuteurs demeurent laconiques. C’est une longue histoire qui a ses origines dans la mythologie antique. Le thème du pantouranisme fera l’objet d’un futur débat à bâtons rompus.
Pietro FIOCCHI.
(article paru dans “Rinascita”, Rome, 15 juin 2010).
(Site de “Rinascita”: http://www.rinascita.eu ).
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mardi, 06 juillet 2010
La Turquie tourne le dos à l'Occident

Bernhard TOMASCHITZ:
La Turquie tourne le dos à l’Occident
L’amitié étroite entre la Turquie et Israël est un fait politique qui relève désormais du passé. Ankara envisage des sanctions contre l’Etat sioniste à la suite de l’attaque israélienne contre la flotille de la paix qui faisait route vers Gaza. Si Israël refuse de satisfaire à l’exigence turque de mettre en oeuvre une commission d’enquête internationale, le gouvernement turc songe à réduire voire à rompre les relations diplomatiques et les coopérations économiques et militaires. De même, la résistance turque au sein du Conseil de sécurité de l’ONU contre tout raffermissement des sanctions contre l’Iran a conduit à un refroidissement considérable du climat entre Ankara, d’une part, Jérusalem et Washington, d’autre part. Président de la commission de politique étrangère du Parlement turc, Murat Mercan explique ce soutien apporté à Téhéran: “La Turquie a des liens historiques, culturels et religieux d’une grande profondeur temporelle avec l’Iran. En d’autres mots: les Iraniens sont non seulement nos voisins mais aussi nos amis et nos frères”.
A Washington, la nouvelle orientation de la Turquie vers la Syrie et vers l’Iran (deux “Etats voyous selon les Etats-Unis) suscite une vigilance toute particulière. Car, en fin de compte, la Turquie est un allié particulièrement important des Etats-Unis pour assurer la pacification de l’Irak. Parce que le gouvernement turc a décidé de ne pas participer aux sanctions, Robert Gates, le ministre américain des affaires étrangères, s’est déclaré “déçu”. Gates avait toutefois une explication toute faite: c’est l’UE qui est responsable de cet état de choses, vu le gel des négociations entre l’Europe et la Turquie en vue de l’adhésion de ce pays à l’Union. Les Etats-Unis mettent une fois de plus la pression sur l’Union européenne pour qu’elle accepte le plus rapidement possible la Turquie en son sein. Et cette pression ira croissant pour autant qu’Ankara n’exagère pas dans son soutien à Téhéran. Au Congrès américain, nous entendons désormais des voix qui réclament une attitude de plus grande fermeté à l’encontre d’Ankara: “Il y aura un prix à payer si la Turquie maintient son attitude actuelle et se rapproche davantage de l’Iran, tout en se montrant hostile à Israël”, a menacé le Républicain Mike Pence. Quant à la Démocrate Shelley Berkley, elle s’est adressé aux Turcs en ces termes: “Ils ne méritent pas de devenir membres de l’UE, tant qu’ils ne commencent pas à se comporter comme les peuples européens et tant qu’ils ne cessent pas d’imiter l’Iran”.
Désormais, la Turquie tourne donc ses regards vers le Proche Orient. Mais l’adoption de cette politique n’est pas vraiment une surprise. De fait, le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan et son parti gouvernemental, l’AKP de tendance islamiste, se sentent plus proches du monde musulman que des Etats-Unis ou de l’Europe. A ce sentiment d’affinité s’ajoute le concept de “profondeur stratégique”, élaboré dès 2001 par l’actuel ministre turc des affaires étrangères, Ahmed Davutoglu. Selon ce concept, la Turquie doit retrouver sa propre “identité historique et géographique”, démarche où l’Empire ottoman constitue la principale référence. Davutoglu considère son pays, la Turquie, comme un “Etat clef”, situé sur le point de rencontre de l’Europe, de l’Asie et de l’Afrique car, en effet, la Turquie est tout à la fois partie des Balkans, du Caucase, de l’espace pontique (Mer Noire), du Proche Orient et de l’espace maritime du bassin oriental de la Méditerranée, ce qui implique, ipso facto, qu’elle doit s’efforcer d’entretenir un “rapport équilibré avec tous les acteurs globaux et régionaux”.
Cette notion de “rapport équilibré” est très visible dans les relations qu’entretient aujourd’hui la Turquie avec la Syrie. Ces relations se sont remarquablement détendues, depuis que la Turquie essaye de jouer un rôle médiateur dans le conflit israélo-syrien. Avant ce travail de médiation, on évoquait fort souvent une possible “guerre pour l’eau” entre les deux pays redevenus amis, parce que la Turquie contrôlait le cours supérieur de l’Euphrate.
Quant à la “profondeur stratégique”, elle constitue le pendant en politique étrangère de l’islamisation de la Turquie en politique intérieure. La notion de “profondeur stratégique” et l’islamisation constituent deux modes de rupture avec le kémalisme, idéologie déterminante de la Turquie depuis la fondation de la République en 1923. Heinz Kramer, politologue oeuvrant à la “Stiftung Wissenschaft und Politik” de Berlin (“Fondation Science et Politique”), évoque, dans l’une de ses études, la rupture fondamentale que cette idée de “profondeur stratégique” apporte dans la praxis turque en politique étrangère: “La domination mentale exercée jusqu’ici par l’exclusivité de l’orientation pro-occidentale, considérée comme l’un des piliers de l’identité républicaine en gestation, se trouve relativisée. La Turquie, dans cette perspective, ne se perçoit plus comme un Etat en marge du système européen mais comme le centre d’une ‘région spécifique’, pour l’ordre de laquelle Ankara doit assumer une responsabilité ou une co-responsabilité politique”.
Conséquence de cette nouvelle vision en politique étrangère et de cette nouvelle conscience politique: la Turquie essaye de se positionner comme un acteur plus déterminant qu’un simple pays assurant le transport d’énergie. En juillet 2009, la Turquie a signé l’accord sanctionnant la construction du gazoduc Nabucco qui devra acheminer le gaz naturel de la région caspienne ou de l’Iran vers l’Europe centrale: cette signature est un véritable coup de maître politique. Morton Abramowitz et Henri J. Barkey, tous deux actifs pour les “boîtes à penser” américaines, écrivent à ce propos dans la très influente revue “Foreign Affairs”: “Le gazoduc Nabucco sera-t-il un jour construit? On demeure dans l’incertitude. Tant le coût de son installation que la question de savoir s’il y aura suffisamment de gaz naturel à disposition pour le remplir, sont des éléments qui restent à élucider (...). Mais le projet de gazoduc a d’ores et déjà augmenté l’influence de la Turquie aux yeux des pays de l’UE, animés par une perpétuelle fringale d’énergie”. Avec la clef énergétique, la Turquie pourrait bien s’ouvrir la porte de l’UE.
Bernhard TOMASCHITZ.
(article paru dans “zur Zeit”, Vienne, n°25-26/2010; trad. franç.: Robert Steuckers).
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lundi, 05 juillet 2010
Désamorçons l'arme de la finance globaliste!
Rolf STOLZ:
Désamorçons l’arme de la finance globaliste!
L’homme ne vit pas seulement de pain. Mais il en vit! La vieille sentence qui veut que l’économie soit notre destin devient d’autant plus valide lorsqu’une chancelière, tout en dilettantisme, se révèle personnellement comme une fatalité. L’économie s’avère souvent alambiquée, pour le commun des mortels, elle est constituée d’arcanes mystérieuses. Même les grands fiscalistes et capitaines d’industrie ne peuvent la gérer que très partiellement. Pourtant aucune personne dotée de rationalité n’ira jusqu’à dire que l’économie est aussi peu influençable que la météo ou le tirage des numéros du loto.
Le citoyen lambda ne peut certes pas intervenir dans le déroulement de l’économie avec autant de poids et de capitaux que l’investisseur américain George Soros mais, malgré cela, il peut agir sur l’économie, du moins de manière indirecte ou graduelle par son engagement politique. Les fanatiques du monde unifié sous l’égide du globalisme lui diront qu’il n’y a plus possibilité, aujourd’hui, de gérer des économies limitées à une seule nation, dotées d’une forte dose d’autonomie. Cette affirmation impavide nous est assénée à longueur de journées malgré que le processus de la globalisation s’avère nettement contradictoire et incohérent et n’a pas pu créer, et ne créera pas, un monde globalisé à 100% .
Les prédicateurs qui nous annoncent le paradis néo-libéral, où il n’y aura plus que du profit à l’horizon, font usage d’un vieux truc de démagogue: ils posent l’équation entre un fait (l’imbrication mondiale par la globalisation) avec une idéologie très douteuse (celle du globalisme). La méthode ressemble à celle utilisée par les néo-staliniens: ceux-ci partent de la nécessaire orientation de l’économie vers l’action sociale pour mélanger cette nécessité à leurs idées fixes qu’ils baptisent socialisme. De cette manière, toute critique à l’encontre de leurs utopies est jugée comme l’expression d’une “absence de coeur”.
A la base du globalisme se trouve une idée dépourvue de tout développement dialectique potentiel, une idée qui veut que des ensembles économiques de plus en plus grands et de plus en plus centralisés soient une valeur en soi, que tout doit absolument être exportable, importable ou achetable et qu’un gouvernement mondial tout-puissant constitue à terme l’objectif le plus élevé à atteindre. Dans les faits, selon les tenants de cette idéologie globaliste, les Etats nationaux démocratiques, et avec eux, la démocratie en soi, devraient être réduits à exercer les seules fonctions restantes, celles qui ne relèvent pas de l’économie et sont dès lors posées comme mineures ou subalternes, non génératrices de profits. Deux camps s’opposent: ceux qui, via l’eurocratie installée à Bruxelles, via Wall Street et la Banque Mondiale, veulent faire éponger par les peuples l’éclatement de la bulle spéculative; et ceux qui entendent organiser la résistance des nations et des autonomies humaines contre le pillage des hommes, des matières premières et de la biosphère. “Nous nous sommes approchés très très près d’une implosion totale et globale de la sphère financière” a déclaré Bernanke, chef de la banque d’émission américaine lors de la débâcle de Lehman-Brothers. Ou bien les Etats parviendront à désamorcer les bombes atomiques financières qui menacent de nous exploser au nez ou bien celles-ci nous éclateront à la figure lors des prochaines guerres économiques.
Rolf STOLZ.
(article paru dans “Junge Freiheit”, Berlin, n°26/2010).
Rolf Stolz fut l’un des co-fondateurs du mouvement des “Verts” allemands. Il vit aujourd’hui à Cologne et exerce le métier de journaliste libre de toute attache.
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dimanche, 04 juillet 2010
La Chine se découple du dollar
La Chine se découple du dollar
Une semaine avant le sommet du G20 au Canada, la Banque Centrale Chinoise (BCC) a annoncé qu’elle assouplirait voire relâcherait les liens qui unissent le Renminbi (le Yuan) au dollar américain. La Banque centrale chinoise exclut toutefois une réévalution hâtée ou unique. Le cours des changes serait ainsi “maintenu à un niveau raisonnable et équilibré, ce qui lui apportera une stabilité fondamentale”, a dit le porte-paroles de la BCC. Les fluctuations dans le cours des changes ne pourront s’effectuer que dans un “corridor” de 0,5% par jour. Le 21 juin, le cours du change était de 6,80 renminbi pour 1 dollar américain, ce qui est un record. La semaine précédente, le cours du change était de 6,82 renminbi. Jusqu’en 2005, la Chine avait maintenu le cours de manière constante à 8,28 renminbi pour 1$, en achetant des masses de billets verts. Ensuite, dans les années qui suivirent, la BCC avait autorisé une réévaluation continuelle de la monnaie chinoise. En 2008, elle avait gelé le change à cause de la crise financière mondiale à environ 6,83 renminbi.
(source: “Junge Freiheit”, Berlin, n°26/2010).
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jeudi, 24 juin 2010
Vers l'unité européenne par la révolution régionale?

Archives de SYNERGIES EUROPEENNES - 1992
Article paru dans "Nationalisme et République", Provence, 1992Vers l'unité européenne par la révolution régionale?
par Robert Steuckers
«Vers l'unité européenne par la révolution régionale», tel était le sous-titre d'un vigoureux plaidoyer de Pierre Fougeyrollas pour une France fédérale (1). Sorti de presse en 1968, en pleine effervescence, sur fond de révolte étudiante et de grèves ouvrières, ce livre retrouve une étonnante actualité, avec la chute du Rideau de fer, avec la création de l'EEE (Espace Economique Européen), regroupant les pays de l'Europe des Douze et ceux de l'AELE (EFTA), avec l'inclusion prévisible dans cet espace de la Hongrie, de la Tchèquie, de la Slovaquie, de la Silésie devenue plus ou moins autonome, de la Croatie et de la Slovénie, et dans une moindre mesure, de la Pologne appauvrie. L'horizon du politique, de tout dynamisme politique constructif, n'est plus l'Etat-Nation fermé, qu'il soit centralisé ou fédéral, mais les limites géopolitiques du continent européen. Mieux: du continent eurasien, car il nous apparaît inutile de briser, de morceler, l'œuvre politique des Tsars blancs et rouges.
Un continent très vaste peut naître en l'espace de vingt ans, si une volonté politique froide, patiente, tenace, entre en action. Cette perspective eurasienne inéluctable n'est plus seulement un rêve d'européistes visionnaires: il est sereinement envisagé par les représentants de la ploutocratie mondiale. Dans un dossier récemment paru dans L'Expansion (2), Jacques Attali, le président de la BERD, suggère un «marché commun continental» (MCC), englobant tous les pays de l'AELE, de l'ex-COMECON, Russie, Biélorussie et Ukraine compris. Ce qui signifie en clair, l'unification économique de l'espace sis entre l'Atlantique et le Pacifique. Ce qui nous amène à interpeller Attali et à lui poser deux questions: 1) Le fonctionnement de ce MCC doit-il est calqué sur les principes anti-dirigistes pratiqués aujourd'hui dans la CEE, c'est-à-dire doit-il être «ouvert» sans la moindre discrimination à la concurrence américaine et japonaise, au risque de devenir, surtout de l'Oder à la Mer d'Okhotsk, un débouché pour des produits américains ou japonais dont ne voudraient plus les Européens de l'Ouest? 2) Pourquoi, dans son article, Attali ne fait-il pas mention des républiques musulmanes d'Asie Centrale, réservoirs de matières premières utiles au MCC potentiel, dont le coton? Implicitement, Attali envisage-t-il d'abandonner à la Turquie, où règne une nouvelle effervescence pantouranienne, cette zone-clef de la masse continentale eurasienne, au risque de la rendre stratégiquement inviable, de la laisser à la merci des Etats-Unis et de leurs alliés turcs, saoudiens et pakistanais?
Si après les visions d'Ernst Niekisch (3), des Eurasistes russes (4), de Karl E. Haushofer, le géopoliticien allemand (5), d'Anton Zischka (6) de Jean Thiriart (7), l'idée eurasienne, l'idée du «grand bloc continental», a cessé d'être un engouement marginal et marginalisé, si cette idée eurasienne passe aujourd'hui dans le monde libéral de la haute finance (qui vise sans nul doute des finalités très différentes des nôtres), c'est qu'elle est inéluctable. Qui plus est, à Moscou, de hautes personnalités de l'Etat-major, du Parlement de Russie, des Musulmans attachés à la continuité de l'espace ex-soviétique, relancent dans le débat le leitmotiv de l'Eurasie (8). Bref: il y a quasiment consensus en ce qui concerne l'objectif territorial final des efforts à entreprendre. Les esprits divergent cependant quant aux principes qui règneront dans cet ensemble.
Attali, la BERD, les forces financières qui se profilent derrière cette institution, veulent, à l'évidence, introduire les principes capitalistes purs en Pologne et dans les Républiques de la CEI. La libéralisation des prix par Eltsine, le 2 janvier de cette année, et la paupérisation générale des Russes qui en résulte, est l'indice le plus patent de l'application de ce remède de cheval. Michel Albert, dans Capitalisme contre capitalisme (8), a démontré avec brio quelles étaient les lacunes pratiques de ce libéralisme pur à l'américaine et qu'il fallait des garde-fou institutionnels pour préserver l'économie productrice de biens réels, industrielle et faustienne, des avatars de la spéculation capitaliste de type américain. Le modèle à appliquer dans l'actuelle CEI est donc un modèle mixte, à l'allemande ou à la suédoise; mais cela vaut pour le très long terme; dans un premier temps, la désoviétisation économique doit procéder par création graduelle de zones franches, selon le modèle chinois, comme l'envisage l'intellectuel kazakh Khamil Soultanov (9). Cette désoviétisation progressive, nécessairement lente, doit se faire sous l'autorité du politique et non dans l'anarchie et l'empressement; moralité: le politique ne peut en aucun cas être déconstruit ni évacué au profit de l'anarchie libérale-démocratique, exactement comme en Chine. Et cet Etat doit avoir le sens du divers: c'est ce que ressent confusément le Président de l'ancien groupe Soyouz (= L'Union) au Parlement de Russie, le Colonel Viktor Alksnis (10), pourtant adversaire du réflexe ethniste (balte, tatar, tchétchène, etc.). Alksnis veut un «Etat fédéral», où la sécession serait rendue impossible; un «Etat fédéral» qui se désoviétiserait progressivement sur le plan économique. Le Colonel Alksnis, un peu désorienté par les événements, énonçait en fait, tout en restant très marqué par les événements qui ont secoué l'ex-URSS, les trois principes qui doivent gouverner l'ensemble eurasien: décentralisation administrative pragmatique aux niveaux économique, scolaire, culturel; dirigisme souple de l'économie; solidarité obligatoire de tous les peuples eurasiens contre les ennemis extérieurs.
Comment concilier cette décentralisation par pragmatisme et la solidarité obligatoire des peuples contre les ennemis extérieurs? C'est une question qui se pose à tous les Européens, y compris à l'Ouest. Car à l'intérieur même de la CEE, il y a des Etats centralisés et des Etats fédéraux; il y a des Etats qui privilégient l'alliance américaine, entendent construire avec Washington le «Nouvel Ordre Mondial», et d'autres qui donnent la priorité à la construction européenne, à l'élargissement de l'Europe des Douze aux pays de l'AELE et de l'ex-COMECON. La cassure est nette: Paris et Londres sont atlantistes et entretiennent des réseaux de collabos, souvent vénaux, à Bruxelles, Rome et La Haye. Bonn est européenne, de tout son poids, a des compagnons de route à Vienne, Prague, Budapest, Zagreb et Ljubliana, également à Rome, Bruxelles et La Haye, dans les milieux industriels, mais dans ces deux dernières capitales, les journalistes des médias écrits et parlés sont résolument dans le camp atlantiste, en dépit d'un vernis gauchisant. Conséquence: l'idée de la construction européenne y est dépourvue d'attrait, n'exerce aucune séduction sur les esprits, apparaît abstraite et absconse.
Washington a intérêt à ce que règne la disparité des régimes politiques en Europe, à ce que se perpétuent des vieilleries de mauvais goût comme la monarchie britannique et son culte sous-sulpicien, avec ses assiettes roses ou ses tasses de thé mauves à l'effigie de la Queen, à ce que la France conserve un système centralisé archaïque en marge de toute l'Europe, à ce que le système de représentation majoritaire porte toujours au pouvoir les vieilles élites de droite ou de gauche acquises depuis la guerre à l'alliance américaine, à ce que des réflexes nationalistes étroits subsistent pour que le Pentagone et la CIA puissent les instrumentaliser contre d'autres puissances européennes et appliquer de la sorte le vieil adage «diviser pour règner».
Or, la construction européenne définitive, via l'EEE, la CSCE ou le MCC, n'est possible que s'il y a un accord de principe général quant aux institutions démocratiques. L'unité européenne postule de fédérer les énergies. «Fédérer» ne signifie pas diviser, mais mettre en «gerbe» ou en «faisceau». Même chose en allemand: Bund est apparenté à bündeln, rassembler en gerbe ou en faisceau. Tel est l'esprit qui a présidé à la confédération helvétique, une construction politique qui tient depuis 700 ans, sans trop de heurts (juste une petite guerre civile en 1847-48, fomentée par les Jésuites). Tel sont également les principes qui gouvernent la RFA, l'Etat le mieux organisé d'Europe et le plus efficace sur le plan économique. En reconnaissant aux cantons et aux Länder une personnalité historique, économique et culturelle propre, les législateurs suisses et allemands évitent l'écueil du séparatisme, consolident l'unité nationale et exercent une séduction certaine sur leurs voisins. La diversité des Länder et des cantons étant respectée, l'Etat, désormais svelte et souple, peut s'occuper à fond des instances essentielles de la souveraineté: diplomatie, armée, monnaie. En dépit du fait que la RFA demeure encore sous tutelle des Alliés occidentaux, sa diplomatie s'est montrée plus audacieuse que les autres, notamment à l'égard des Slovènes et des Croates, et a fait preuve d'originalité; son armée demeure réduite, preuve de cette souveraineté limitée, mais dispose de l'arsenal intact de l'ancienne NVA est-allemande, missiles et chasseurs Mig-29 performants compris, alors que les Etats-Unis avaient toujours cherché à limiter la puissance de la Luftwaffe et à juguler l'envol d'une industrie aéronautique allemande; en revanche, sur le plan de la monnaie, on connait le rôle déterminant de la Deutsche Bank dans le maintien du mark, et dans le succès de l'économie allemande.
Cette organisation politique de la RFA connait le succès parce qu'elle est la plus moderne. Après l'effondrement du IIIième Reich, il a fallu faire table rase des institutions passées, celles de Weimar et de Hitler, pour renouer avec tous les principes de la tradition fédéraliste allemande. Ce recours a permis d'élaborer un système institutionnel et politique d'avant-garde, porté essentiellement par deux traits, qui différencient le fédéralisme allemand du fédéralisme américain: 1) la technique de répartition des compétences et 2) le système de représentation des Etats fédérés au sein de la Fédération (11).
«La technique de répartition des compétences aux Etats-Unis supposent la séparation et attribuent des matières entières, soit à la Fédération, soit aux Etats fédérés», écrit Constance Grewe, tandis que «l'organisation continentale (i.e. allemande) accentue la participation et l'interdépendance». Les affaires locales sont du ressort du Land, les matières de souveraineté et de loi-cadre (les principes) relevant du Bund. «La priorité fédérale dans le domaine législatif se trouve contrebalancée par la prépondérance des Etats membres dans le secteur administratif. A l'unité législative répond ainsi le pluralisme administratif». Conséquence pratique: «les services administratifs fédéraux sont dans ce système très peu nombreux, l'essentiel relevant du ressort des Länder (...). En somme, la répartition des compétences s'inspire elle aussi du principe des équilibres et des contre-poids». La technique fédérale allemande est certes plus complexe que l'américaine, mais, dans le domaine de la loi-cadre, par exemple, elle implique des contacts fréquents entre le Bund et les Länder. Cette multiplicité des contacts, qui contribuent à aplanir souplement les problèmes, crée l'interdépendance.
Les Länder allemands sont représentés au Bundesrat par des délégués des exécutifs des Länder, investis d'un mandat impératif. Ce qui fait dire à certains zélotes «démocrates» que cette structure, qui assure une continuité au-delà de la mêlée politicienne et tient compte du fait de la territorialité, n'est pas purement «démocratique», puisqu'elle ne découle pas directement du suffrage universel. Mais comme dans les Sénats ouest-européens ou américains, le Bundesrat allemand fait fonction de «réservoir de sagesse», de frein contre l'intempérence politicienne de la chambre des députés élue au suffrage universel (Bundestag). A la différence qu'un veto du Bundesrat est toujours définitif et appelle des amendements au projet de loi rejeté, à rebours du système américain où une majorité simple dans la chambre basse peut bloquer définitivement un veto du Sénat. D'aucuns, notamment dans le mouvement flamand (12), veulent que l'Europe, l'EEE, adopte ce système de représentation. Les régions, redessinées dans chacun des pays membres sur des bases historiques, culturelles, ethniques et économiques, enverraient ainsi des délégués au Bundesrat européen, qui aurait notamment la tâche d'élire le Président européen, tandis que le Parlement de Strasbourg élirait, à l'instar du Bundestag, un «Chancelier européen». Ce bicaméralisme à deux vitesses, conciliant les impératifs de territorialité et de représentativité démocratique, pourrait fonctionner en Europe de l'Ouest, dans les pays de l'ex-COMECON et dans les républiques de la CEI, tout en respectant les régionalités à base ethnique ou non.
Mais pour faire triompher cet équilibre —toujours instable à l'instar de la réalité physique sans cesse en effervescence et en devenir— entre impératifs locaux et impératifs globaux, il faudrait que l'ensemble des nations du futur MCC envisagé par Attali adoptent ces principes et les adaptent à leurs réalités concrètes (tissus sociaux particuliers, traditions juridiques déterminées, etc.).
Cette volonté doit être précédée a) d'une volonté de faire table rase des institutions vieillies (monarchies résiduaires, tous reliquats d'arbitraire, administrations centralisées coupées des réflexes de la population, préfets nommés par l'administration centrale, structures ne tenant pas compte de l'indigénat, partis politiques incrustés dans les niches à prébendes que sont les instances administratives existentes, etc.).
b) d'une volonté de dépasser les instances relevant des anciens Etats nationaux devenus redondants (petit-nationalisme, chauvinisme) et de les remplacer par des mécanismes de représentation régionaux et européens.
c) d'une volonté de favoriser partout les synergies régionales transfrontalières, de façon à accélérer le processus d'unification européenne et à déconstruire les antagonismes du passé, ce qui amènera tout naturellement les populations vers cette solidarité générale. Par synergies régionales autonomes, nous entendons des processus, déjà à l'œuvre, comme la dynamique Alpes-Adriatique, regroupant, derrière la Lombardie et la Bavière, la Vénétie, quelques Länder autrichiens, deux départements hongrois, la Slovénie et la Croatie; la synergie Sar-Lor-Lux (Sarre-Lorraine-Luxembourg) (13); la synergie hanséatique-baltique (Scandinavie, RFA, Pays Baltes, Russie) (14); la coopérations entre zones frontalières néerlandaises et allemandes; les initiatives catalanes suggérées par Jordi Pujol; l'Euro-Regio regroupant les provinces de Limbourg, la flamande et la néerlandaise, la Province de Liège (Wallonie) et les districts de Cologne et d'Aix-la-Chapelle. Ces synergies ponctuelles sont possibles et efficaces parce que les régions concernées bénéficient d'une large autonomie administrative et économique. Au bout du compte: un enrichissement mutuel, tant sur le plan économique que sur le plan culturel. Et une véritable intégration européenne, au-delà des antagonismes du passé, du moins à l'intérieur de l'EEE (CEE + AELE + Hongrie et Tchécoslovaquie). Les régions pourront de la sorte aplanir les inimitiés, ce que n'ont pas réussi les Etats de type classique, d'ailleurs responsables des guerres inter-européennes. Ensuite, les irrédentismes n'ont plus aucune raison d'être quand se multiplient de telles synergies.
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lundi, 21 juin 2010
I processi di integrazione nell'America Indiolatina
di Sergio Barone
Fonte: eurasia [scheda fonte]

In America Latina dalla fine della Guerra Fredda sono in corso processi di integrazione regionale che vanno nel senso dell’autodeterminazione economica e politica, lontani dall’influenza del modello neoliberale e dal dollaro.
Il Mercosur stesso, che ha le sue fondamenta nella Dichiarazione di Foz Iguazù del 1985 (integrazione tra Brasile e Argentina), ha parzialmente cambiato nel corso del tempo la sua impostazione iniziale, dando maggiore importanza ai temi del lavoro, oltre che del commercio.
Il progetto di integrazione più originale e significativo dal punto di vista geopolitico è l’Alianza Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América – Tratado de Comercio de los Pueblos (ALBA-TCP), che si contrappone ai progetti neoliberisti nordamaricani dell’ALCA nell’area, per uno sviluppo ed un’integrazione che parta da principi antagonisti rispetto a quelli liberisti: ovvero sovranità, autodeterminazione, cooperazione, solidarietà.
L’ALBA mostra così di essere, oltre che uno strumento di integrazione fra Paesi della stessa area, un altro modello di società e sviluppo possibile rispetto al capitalismo globalizzato dai cui binari non sembra possibile staccarsi.
MERCOSUR
L’embrione di quello che oggi conosciamo come MERCOSUR (Mercato Comune del Sud) fu il Trattato di Asunción, firmato il 26 luglio 1991 da Argentina, Brasile, Paraguay e Uruguay.
Gli organismi decisionali del Mercosur sono:
Il Consiglio del Mercato Comune, organo supremo (Decisioni);
il Gruppo del Mercato Comune, che si occupa delle questioni socio-lavorative (Risoluzioni);
la Commissione del Commercio del Mercosur (Direttive).
Esiste anche un Parlamento che non ha poteri decisionali, ma emette un parere per ogni direttiva, decisione o risoluzione degli organi decisionali e ha il compito di presentare un documento annuale circa la situazione dei diritti umani nei Paesi membri, oltre ad avere il ruolo di interlocutore privilegiato per ogni organo dell’Organizzazione.
I propositi iniziali del Mercosur erano: raggiungere
la libera circolazione di merci, servizi e fattori produttivi entro i Paesi membri;
l’adozione di una tassa comune con l’esterno e di una politica commerciale comune;
la coordinazione tra le politiche macroeconomiche degli Stati membri;
l’armonizzazione delle legislazioni interne per avanzare nell’integrazione regionale;
Attualmente il raggiungimento di questi obiettivi soffre le molte eccezioni che ogni Paese applica alla lista di prodotti a cui non vuole applicare l’imposta comune e per questi motivi sono in molti a ritenere il MERCOSUR una unione doganiera incompleta o parziale.
Quello che è da rilevare invece è che, nonostante il Trattato di Asunción non prevedesse nessuno spazio per i temi del lavoro, fin da subito i sindacati rappresentati nella Coordinadora de Centrales Sindicales del Cono del Sur (CCSCS), assieme ai Ministeri del Lavoro dei vari Paesi hanno spinto per discutere e prendere le adeguate misure a riguardo dell’impatto che l’integrazione avrebbe avuto sulle condizioni socio-lavorative nei Paesi membri.
Così, a un anno dalla nascita del Mercosur, nacque il Sotto Gruppo sulle Questioni socio-lavorative, dipendente dal GMC (Gruppo del Mercato Comune) e organizzato come un vertice tripartito tra sindacati, imprenditori e Ministeri del Lavoro, che ha generato un fruttuoso dialogo interregionale a partire dal quale il Mercato Comune si è dotato di organismi e strumenti per affrontare le tematiche del lavoro.
Nel 1997 si firmò la prima norma di contenuto socio-lavorativo del Mercosur (Acuerdo Multilateral de Seguridad Social del Mercado Común del Sur, ratificato solo dopo anni) e l’anno seguente con la Dichiarazione Sociolavorativa del Mercosur si stabilirono le basi per l’emanazione di risoluzioni di diretta applicazione (senza necessità di ratifica) nei Paesi membri, sempre con lo schema delle riunioni tripartitiche, che riuniscono gli interessi del mondo del lavoro, dell’impresa e i Ministeri del lavoro.
Dopo le associazioni nel Mercosur da parte del Cile e della Bolivia nel 1996, del Perù nel 2004 e di Colombia ed Ecuador nel 2006, si aspetta la ratifica dell’adesione venezuelana da parte del Paraguay.
Il Venezuela firmò gli accordi pre-adesione assieme alla Colombia ed all’Ecuador, ma ancora il Congresso paraguayense non ha dato il suo nullaosta per l’opposizione ideologica al presidente venezuelano Chavez.
Tuttavia le cose si dovrebbero sbloccare presto visto che lo stesso Presidente del Paraguay, Lugo, ha esortato di recente il proprio Congresso affinchè acceleri il processo di ratifica, in quanto l’ingresso venezuelano e’ considerato importante per gli interessi di integrazione di tutti i Paesi della regione.
ALBA
L’ALBA, nata il 14 dicembre 2004 a l’Havana su iniziativa del Presidente venezuelano Hugo Chavez, è oggi composta da otto Paesi (dopo l’espulsione dell’Honduras a seguito del golpe del giugno 2009), Venezuela, Cuba, Ecuador, Bolivia, Nicaragua, Rep.Dominicana, Granada, Antigua e Barbuda.
Se il Mercosur è la gamba economico-commerciale dell’integrazione dell’america indiolatina (non per niente i due Paesi cardine nella sua costruzione furono Brasile e Argentina, storicamente i più floridi della zona), l’ALBA è la sua gamba politica.
L’iniziativa per la nascita di questo nuovo organismo di integrazione regionale è portata avanti principalmente da Cuba e Venezuela e pretende di abbracciare tutte le nazioni che si trovano tra il Rio Bravo e la Patagonia, realizzando così l’ideale panamericano di Bolìvar.
L’obiettivo è quello di superare i nazionalismi egoistici di ogni Paese al fine di integrarsi secondo i principi di solidarietà e cooperazione, in modo da contrastare il modello neoliberale imposto dagli Stati Uniti tramite l’Accordo di Libero Commercio delle Americhe (ALCA).
La massima autorità è il Consiglio dei Presidenti dell’ALBA, allo stesso livello si trova il Consiglio dei Movimenti Sociali, che si propone di rappresentare appunto i movimenti sociali e i popoli dei Paesi membri, ma che è ancora in via di definizione.
Le principali forme di integrazione dell’ALBA sono i Trattati di Commercio dei Popoli, i cosiddetti progetti “Gran Nazionali” e le imprese Gran Nazionali, che si oppongono per struttura e obiettivi alle note imprese Trans-nazionali.
Queste forme di integrazione hanno come caratteristica primaria il rigetto di qualsiasi principio neoliberista, visto solo come uno strumento di colonizzazione del Nord America.
I Trattati di Commercio dei Popoli sono accordi di interscambio di beni e servizi per soddisfare le esigenze delle persone, al di là della logica del mero profitto.
Si sostentano sui principi di solidarietà, reciprocità, trasferimento tecnologico, utilizzo dei vantaggi che offre ogni Paese per il bene collettivo, risparmio di risorse e includono anche facilitazioni creditizie per facilitare i pagamenti.
Essi nascono per opporsi ai Trattati di Libero Commercio proposti dagli Stati Uniti, che portano verso la distruzione delle economie nazionali, incapaci di competere, senza l’adeguata protezione, con il grande capitale privato straniero.
I progetti Gran Nazionali danno concretezza ai principi solidaristici e antiliberisti espressi dall’ALBA, nonchè ai processi economici e sociali dell’integrazione americana.
Tali progetti sono a differenti stati di sviluppo e quelli che fino ad ora hanno avuto più successo sono il progetto della Banca dell’ALBA e quello di Alfabetizzazione e Post-alfabetizzazione (che ha fatto della zona dell’ALBA il primo spazio regionale libero da analfabetismo), ma esistono progetti Gran Nazionali in ogni settore, dalla scienza all’alimentazione, passando per salute e commercio.
Le imprese Gran Nacional nascono sempre da un progetto e possono essere composte dalla collaborazione fra due o più Stati aderenti all’ALBA.
Il concetto che le muove si oppone allo strapotere dei grandi gruppi privati (Corporations Transnazionali) e del mercato, a favore di una partecipazione dello Stato nell’economia affinchè si ottenga una produzione ed un’allocazione di risorse più razionale, che tenga conto innanzitutto dei reali bisogni della popolazione, a spese della logica del profitto, come fine ultimo dell’impresa.
Esistono imprese Gran Nazionali in molti settori: pesca (Transalba), trasporti, agricoltura e telecomunicazioni (Albatel), settore petrolifero (Albanisa, società mista venezuelo-nicaraguense) , costruzione di porti (Puertos de Alba, nata dalla collaborazione tra Cuba e Venezuela).
Il progetto forse più ambizioso dell’ALBA è la creazione di una moneta comune (SUCRE) da usare negli scambi commerciali fra Paesi dell’area per sostituire il dollaro, che è già in piena fase di realizzazione.
Dapprima si è utilizzato esclusivamente come unità di misura comune (Sistema Unitario de Compensaciòn Regional, SUCRE), mentre il 27 gennaio è entrata in funzione come moneta commerciale a tutti gli effetti e il 4 febbraio vi è stata la prima transazione commerciale in SUCRE, con l’esportazione di diverse tonnellate di riso venezuelano verso Cuba.
Conclusioni
Oggi in America Latina ci sono degli attori che, dopo due secoli di subalternità alla dottrina Monroe, vogliono giocare il proprio ruolo nello scacchiere internazionale e nello scegliere il proprio modello economico.
Vi è una potenza regionale, il Brasile, che proprio di recente ha dimostrato come sia capace di giocare un ruolo indipendente nel mondo delle relazioni internazionali (si veda l’accordo con la Turchia e Iran sul nucleare) e che è la locomotiva economica trainante del Mercosur.
Proprio il Brasile si è espresso a più riprese per l’ingresso del Venezuela nel MERcado COmune del SUR, poichè, anche per le sue risorse energetiche, è un Paese fondamentale per l’integrazione sudamericana e ormai la ratifica da parte del Paraguay dovrebbe avvenire presto.
Il Venezuela è anche il motore dell’ALBA (organizzazione composta oggi da otto Paesi, ma con l’obiettivo di aumentarne il numero), organizzazione di ispirazione socialista e pan-americana che si propone di disegnare un altro modello di società, antagonista al modello neoliberale americano. Difatti la pressione statunitense nella regione è cresciuta parecchio negli ultimi anni, con la costruzione di sette nuove basi militari in Colombia, la riattivazione della IV Flotta (ottobre 2008) destinata a operare nel Sud Atlantico (inattiva da 52 anni) e attraverso il colpo di Stato contro il Presidente dell’Honduras Zelaya, che ha portato il Paese centroamericano fuori dall’organizzazione Bolivariana.
Il successo di queste iniziative di integrazione regionale dipenderà molto dai concreti risultati che si otterranno nel migliorare le condizioni materiali delle popolazioni sudamericane, poichè, specialmente nel caso dell’ALBA, un cambio nelle preferenze politiche da parte dei cittadini potrebbe interrompere o azzoppare tutto il processo, facendo ritornare preponderante l’influenza statunitense nel decidere le politiche economiche nell’area.
Nonostante i Paesi dell’area siano differenti fra loro (come composizione etnica, popolazione, estensione, sviluppo industriale) e dunque abbiano in parte interessi differenti, finora ha prevalso il rispetto per l’autonomia di ogni Paese e la consapevolezza che una maggiore integrazione può portare solo vantaggi ai Paesi dell’area, al di là delle loro priorità specifiche.
* Sergio Barone è dottore in Relazioni Internazionali (Università di Bologna)
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00:23 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, politique internationale, amérique du sud, amérique latine, intégration, géopolitique, géoéconomie, amérique | |
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samedi, 19 juin 2010
Israël s'inscruste en Irak

Israël s’est vite rendu compte que les Etats-Unis perdraient la guerre d’Irak, et que les projets d’établissement de relations diplomatiques et de réouverture du pipeline Kirkouk- Haïfa promis par Ahmed Chalabi, étaient illusoires. Ariel Sharon a alors décidé, selon le journaliste d’investigation Seymour Hersh, de renforcer la présence israélienne au Kurdistan irakien afin que le Mossad puisse mettre en place des réseaux qui perdureraient dans le reste du pays et le Kurdistan des pays voisins, quelle que soit l’issue des combats.
Programme d’assassinats
La participation israélienne à la coalition occidentale ayant envahi l’Irak est loin d’être négligeable, mais demeure quasiment secrète. Les Etats-Unis ne tiennent pas à ce que les médias en parlent, de peur de gêner leurs alliés arabes et de crédibiliser leurs opposants qui dénoncent le "complot américano-sioniste" au Proche-Orient.
Des Israéliens ne sont pas seulement présents sous uniforme étasunien, sous couvert de double nationalité, ils interviennent dès 2003 comme spécialistes de la guérilla urbaine à Fort Bragg, en Caroline du Nord, centre des Forces spéciales. C’est là que fut mise sur pied la fameuse Task Force 121 qui, avec des peshmergas de l’UPK (Talabani), arrêta le Président Saddam Hussein. Son chef, le général Boykin se voyait en croisé combattant contre l’islam, « religion satanique ». C’était l’époque où Benyamin Netanyahou se réunissait à l’hôtel King David à Jérusalem avec des fanatiques chrétiens sionistes pour déclarer l’Irak : « Terre de mission »... En décembre 2003, un agent de renseignement américain, cité par The Guardian, craignait que la "coopération approfondie" avec Israël dérape, notamment avec le " programme d’assassinats en voie de conceptualisation ", autrement dit la formation de commandos de la mort. Il ne fallut d’ailleurs pas attendre longtemps pour que le premier scandale éclate. En mars 2004, le bruit courut que des Israéliens torturaient les prisonniers d’Abou Ghraib, y mettant en pratique leur expérience du retournement de résistants acquise en Palestine. Sur la BBC, le général Janis Karpinski, directrice de la prison révoquée, coupa court aux dénégations officielles en confirmant leur présence dans l’établissement pénitentiaire.
La coopération israélo-américaine ne se développa pas seulement sur le terrain extra-judiciaire avec la liquidation de 310 scientifiques irakiens entre avril 2003 et octobre 2004, mais également en Israël où, tirant les leçons des batailles de Fallujah, le Corps des ingénieurs de l’armée étasunienne a construit, dans le Néguev, un centre d’entraînement pour les Marines en partance pour l’Irak et l’Afghanistan. Ce camp, appelé Baladia City, situé près de la base secrète de Tze’elim, est la réplique grandeur nature d’une ville proche-orientale, avec des soldats israéliens parlant arabe jouant les civils et les combattants ennemis. D’après Marines Corps Time, elle ressemble à Beit Jbeil, haut lieu de la résistance du Hezbollah à l’armée israélienne en 2006…
Les « hommes d’affaire » du Mossad
En août 2003, l’Institut israélien pour l’exportation a organisé, à Tel-Aviv, une conférence pour conseiller aux hommes d’affaires d’intervenir comme sous-traitants de sociétés jordaniennes ou turques ayant l’aval du Conseil de gouvernement irakien. Très rapidement sont apparus en Irak des produits sous de faux labels d’origine. L’attaque par Ansar al-Islam, en mars 2004, de la société d’import-export Al-Rafidayn, couverture du Mossad à Kirkouk, a convaincu les « hommes d’affaires » israéliens qu’il valait mieux recruter de nouveaux agents sans sortir du Kurdistan, mais elle n’a pas empêché les échanges économiques israélo-irakiens de progresser. En juin 2004, le quotidien économique israélien Globes évaluait à 2 millions de dollars les exportations vers l’Irak cette année là. En 2008, le site Internet Roads to Iraq décomptait 210 entreprises israéliennes intervenant masquées sur le marché irakien. Leur nombre s’est accru en 2009 après la suppression, par le gouvernement de Nouri al-Maliki, du document de boycott d’Israël exigé des entreprises étrangères commerçant en Irak, véritable aubaine pour les agents recruteurs du Mossad.
00:27 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : géopolitique, politique internationale, moyen orient, proche orient, israël, irak, stratégie | |
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